Expos

L’Exposition d’Anne Guillon, à la frontière du rêve éveillé

Florence Sanchez, Maire de Poussan, Michel Bernabeu, Adjoint à la Culture, Gaëlle Guénal, Déléguée à la Culture et le Conseil Municipal de Poussan, vous proposent l’exposition d’Anne Guillon, au Foyer des Campagnes de Poussan.

0202Capture d'écran 2024-05-31 115507

Au fil des portraits, son travail délicat et sensible explore l’intime, la fragilité des choses, le temps qui passe, aux frontières du rêve éveillé. L’artiste recevra, comme de coutume à Poussan, les élèves des écoles de la ville pour leur faire partager son univers créatif.

Visite de l’exposition du 14 au 30 juin 2024
Samedi et dimanche de 11h à 18h
Du mardi au vendredi, pour les groupes et les scolaires
sur rendez-vous au service culturel : 04 67 78 99 56 et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

0202Capture d'écran 2024-05-31 115403

La ville de Poussan invite Anne Guillon à investir le foyer des campagnes de son univers onirique, sensuel et mystérieux.

Au fil des portraits, son travail délicat et sensible explore l’intime, la fragilité des choses, le temps qui passe, aux frontières du rêve éveillé. C’est dans la vieille ville de Pézenas que se cache l’atelier d’Anne Guillon, dont les toiles ajoutent à l’ambiance de la cité chargée d’histoire leur poésie hors du temps. La facture est contemporaine, il se dégage de ses contours une ambiance à la limite d’un conte oriental: l’effet des couleurs, la présence moirée des matières, l’atmosphère d’un jardin protégé confèrent à ses œuvres une douceur globale.

Les motifs décoratifs associés aux collages ont une présence sur l’ensemble du tableau et se jouent de la limite entre les personnages et leur environnement. Le cheminement d’une œuvre est progressif, fait de reprises multiples, accueillant l’intuition et l’aléa- toire. Il fait appel aux encres, acryliques, pastels, fusains, à l’huile, aux collages, aux impressions; chargé de couleurs, de traces, d’empreintes, il crée une âme entre les techniques qui se superposent en couches légères et raffinées. Ecriture personnelle, la peinture est ce langage que l’artiste s’invente au fil des jours.

0202Capture d'écran 2024-05-31 115247

Anne GUILLON nous précise : « Née dans le Gers le 10 Septembre 1964, je vis et travaille actuellement dans le Sud de la France, à Pézenas. De retour en France après de nombreuses années passées à l’étranger, j’entreprends des études supérieures en économie et finances et c’est avec un DEA en Banque et Finances que je repars travailler à la Réunion puis à Madagascar. Nouveau retour en 1997, et cette fois je choisis le chemin de la création et décide de me consacrer à la peinture. »

« Autodidacte, mon travail est imprégné des voyages et de la somme de tous ces lieux habités depuis mon enfance. Je me dirige d’abord vers un travail abstrait, la toile va devenir une Terre d’asile pour tout une profusion d’éléments, un monde à faire naître. Au fil du temps, j’invente mon propre langage en peinture. La fragilité des êtres et des choses, le rêve et la douceur qu’il nous manque parfois, l’évocation des choses cachées en nous, l’esprit des sentiments ressentis, de ce langage pictural qui fait parler la matière va émerger une certaine figuration avec des personnages mêlés d’abstraction et de couleurs d’ailleurs. »

« Mon « imaginaire vécu « est venu progressivement et naturellement à la rencontre de la vie ordinaire. Il n’y a plus de frontière entre le rêve et le réel, le senti et le vécu, le visible et l’invisible. Peindre pour réinventer ma façon d’être au monde et décider enfin de la couleur du ciel. »

Featured

À découvrir prochainement au Musée Paul Valéry, l’exposition « JEAN HUGO – ENTRE CIEL ET TERRE »

Du 29 juin au 13 octobre 2024.
Entre ciel et terre
Pour son grand temps fort estival, le musée Paul Valéry a choisi d'offrir à ses visiteurs, une ode à la nature selon Jean Hugo. À la fois peintre, décorateur et écrivain, il demeure 40 ans après sa disparition un artiste majeur et singulier. Afin de présenter une vision la plus complète possible de son œuvre, les musées Paul Valéry, Fabre et Médard se sont associés pour que l'hommage prenne la forme de trois volets, présentés simultanément à Sète, Montpellier et Lunel, dans l'esprit de complémentarité initié par la candidature commune au label de capitale européenne de la culture pour 2028. À Sète, l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » a pour projet de montrer, à travers un important ensemble d’œuvres dominé par la question du paysage, que la représentation de la nature est pour Jean Hugo autant une célébration de l’ordre du monde dans son apparence qu’une volonté de faire ressentir ce qui l’anime. Elle vient compléter chronologiquement celle du musée Fabre de Montpellier qui s’attache à l’œuvre de Jean Hugo jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et son appartenance aux avant-gardes au début du XXe siècle. Ces deux expositions révèleront au public l’ensemble d’une œuvre foisonnante dans toute sa richesse, diversité et complexité, et lui permettront d’embrasser la personnalité de Jean Hugo, arrière-petit fils de Victor Hugo, sous toutes ses facettes.
À travers plus d’une centaine d’œuvres - peintures, dessins, livres illustrés, objets d’art – le parcours de l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » se développera dans les espaces d’exposition temporaire du musée, sur plus de 600 m², et invitera le visiteur à approfondir sa découverte de Jean Hugo, l’artiste et l’homme. Pendant quarante ans, entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et sa disparition en 1984, Hugo a poursuivi avec humilité une trajectoire artistique originale et rare, loin des avant-gardes et de leurs tendances iconoclastes.
Mondain et retiré dans sa propriété de Fourques à Lunel depuis 1929, parisien et rural, Jean Hugo a toujours considéré avec bienveillance la comédie humaine, dont il se voyait aussi comme un acteur. Il n’a cependant jamais cessé de porter un regard ardent et attentif sur les choses qu’il nous est donné de ressentir, de voir, de toucher, de sentir et de goûter, de la plus humble créature au produit le plus élaboré du travail des hommes. Corporelle et sensuelle, l’œuvre de Jean Hugo chante la nature comme une présence splendide.
Mais, nourrie d’une connaissance des territoires autant que d’une expérience intime, elle semble s’en éloigner dans le mouvement même où elle s’en approche. Le parcours de visite sera complété par un focus consacré au groupe Montpellier-Sète, bien représenté dans les collections du musée, avec lequel Jean Hugo avait partagé les murs d’expositions importantes et un autre dédié à Vincent Bioulès, avec qui Hugo entretenait des liens forts d’amitié. Avec l'exposition concomitante qui sera donnée à voir au musée Fabre de Montpellier, ainsi que l'exposition qui se tiendra au musée Médard de Lunel, l’événement sétois pourra permettre au public de mesurer combien cet artiste a pu relever le défi de porter le nom d’Hugo au rang du meilleur de la création artistique.
La spirituelle Louise de Vilmorin avait elle-même lancé : « Il est très difficile d’être descendant de Victor Hugo ; aussi il ne s’agit plus de descendre, il faut remonter. »
C’est ce que fit, Jean Hugo, arrière-petit- fils de Victor, avec toute la pudeur et l’élégance qui le caractérisaient. 2024, tout un territoire rend hommage à Jean Hugo (1994-1984) Né en 1894 et disparu en 1984, ce brillant arrière-petit-fils de Victor Hugo, a traversé presque tout le XXe siècle.
Tour à tour décorateur, peintre, poète et écrivain, il a réalisé plus de 1000 peintures et 3000 dessins, collaboré à près d’une cinquantaine de mises en scène théâtrales ou dansées, et ce tout au long de son existence. Il a largement contribué à plusieurs projets décoratifs et participé à de grands programmes artistiques à l’étranger. Illustrant les plus célèbres auteurs de son temps, il a montré une grande invention dans sa relation féconde avec l’éditeur Pierre-André Benoît. Enfin il a déployé un remarquable don d’écrivain dans des Mémoires où l’humour le dispute à la poésie, d’après des carnets de notes scrupuleusement tenus « an par an » qui font de lui un témoin exceptionnel du XXe siècle, acteur reconnu et fin observateur de tous les mondes sociaux et culturels qui l’ont constitué.
Après les rétrospectives de Toronto en 1973, Sète en 1974, Paris en 1976 et Montpellier en 1978 et 1995, cette saison-hommage dédiée à Jean Hugo en Occitanie en 2024, avec ses temps forts à Sète et Montpellier et aussi d’autres événements,- comme à Lunel, ville où il aura demeuré plus de cinquante ans -, espère marquer une nouvelle étape dans l’historiographie de cet artiste aussi grand qu'il était attachant.
Commissariat
Sous le commissariat général de Michel Hilaire, Directeur du Musée Fabre et de Florence Hudowicz, conservatrice en chef du patrimoine, responsable des arts graphiques et décoratifs au Musée Fabre, l’exposition « Jean Hugo. Entre ciel et terre » est placée sous le commissariat de Stéphane Tarroux, Directeur du Musée Paul Valéry, et d’Ingrid Junillon, conservatrice du patrimoine au Musée Paul Valéry. Catalogue Co-édité avec le musée Fabre de Montpellier aux Éditions Snoeck
En partenariat avec
Jean Hugo, Plantation d’une vigne, 1957. Huile sur contreplaqué. Musée des Beaux-Arts, Nîmes. © Florent Gardin
Musée Paul Valéry
148, rue François Desnoyer - 34200 - Sète
Tél. : (33) 04 99 04 76 16
www.museepaulvalery-sete.fr
Jours et horaires d’ouverture
Du mardi au dimanche de 10h à 18h.
(le musée est fermé le lundi).
Visites commentées le mercredi et le samedi à 15h (4 personnes minimum)

A la Chapelle St Pierre de Montbazin s'ouvre mardi 11 Juin 2024 l'exposition qui réunit Judith BRUNEL et Patrick de PUYSEGUR.

"Dans le cadre de la" Saison de la Chapelle St Pierre  de Montbazin s'ouvre mardi 11 Juin 2024 l'exposition qui réunit Judith BRUNEL et Patrick de PUYSEGUR.
Toux deux s'accordent sur l'idée d'une déambulation poétique, exploration des différentes facettes du féminin .Ils se rejoignent sur une évidente esthétique dans une peinture figurative; lui avec de l'humour parfois  mais une vraie profondeur ;elle grâce aux textures employées tisse un lien presque charnel avec ses sujets accordant une réelle importance aux regards.
Exposition du mardi 11  au dimanche 23 juin2024 
vernissage  Vendredi 14 juin à 19h

A la Chapelle St Pierre de Montbazin s'ouvre mardi 11 Juin 2024 l'exposition qui réunit Judith BRUNEL et Patrick de PUYSEGUR.

"Dans le cadre de la" Saison de la Chapelle St Pierre  de Montbazin s'ouvre mardi 11 Juin 2024 l'exposition qui réunit Judith BRUNEL et Patrick de PUYSEGUR.
Toux deux s'accordent sur l'idée d'une déambulation poétique, exploration des différentes facettes du féminin .Ils se rejoignent sur une évidente esthétique dans une peinture figurative; lui avec de l'humour parfois  mais une vraie profondeur ;elle grâce aux textures employées tisse un lien presque charnel avec ses sujets accordant une réelle importance aux regards.
Exposition du mardi 11  au dimanche 23 juin2024 
vernissage  Vendredi 14 juin à 19h

Exposition "Senteurs célestes. Arômes du passé" au site archéologique Lattara du 20 juin 2024 au 3 février 2025

En latin, en égyptien ou en grec anciens, il n’existe pas de mot pour désigner le parfum. Les termes employés, qui pouvaient être connotés aussi bien positivement que négativement, signifient plutôt odeur. À partir de la documentation archéologique et historique qui nous est parvenue, l’exposition présentera les substances aromatiques employées au cours de l’Antiquité en Égypte, en Grèce et en Étrurie.

Les aromates étaient alors autant utilisés en médecine qu’en parfumerie et des propriétés curatives, médicinales et rituelles leur étaient attribuées. Même si ces substances, principalement des onguents, étaient devenues nécessaires à l’hygiène de chacun, voire à la séduction, il n’en reste pas moins qu’elles ont d’abord été utilisées dans le cadre de pratiques cultuelles. C’est cette histoire olfactive de l’Antiquité méditerranéenne que le visiteur pourra ainsi découvrir à travers une centaine d’oeuvres et des dispositifs sensoriels innovants.

Une exposition produite en partenariat avec l’université Paul-Valéry Montpellier 3 et le LabEx ARCHIMEDE, avec la participation exceptionnelle du musée du Louvre.

Informations pratiques

Tarifs :

  • Plein tarif : 5 €
  • Tarif réduit : 3 €
  • Entrée gratuite pour les - de 18 ans
  • Entrée gratuite le premier dimanche de chaque mois.

Horaires d'ouverture :

  • Semaine : 10h-12h et 13h30-17h30
  • Samedis, dimanches et jours fériés : 14h-19h jusqu’au 31 octobre 2024 et 14h-18h du 1er novembre 2024 au 3 février 2025
  • Fermé le mardi, le 14 juillet, le 15 août, le 1er nov., le 25 déc. et le 1er janvier.

Accès :

  • Par l’autoroute A709, prendre la sortie 30 « Montpellier Sud » ou la sortie 31 « Montpellier Ouest », suivre la direction de « Lattes », puis la direction « Site archéologique Lattara »
  • Par le tramway Terminus de la ligne 3 « Lattes Centre »
  • Par les pistes cyclables entre Montpellier, Palavas et Pérols.

EN JUIN, AU MIAM, UNE NOUVELLE EXPOSITION : "BEAUBADUGLY, L'AUTRE HISTOIRE DE LA PEINTURE"

Au Musée International des Arts Modestes - Sète

Du 27 juin 2024 au 9 mars 2025

 

Avec : Giovanni Bragolin, André Brasilier, Bernard Buffet, RS Clemente, 

Lynette Cook, Leonor Fini, The Highwaymen, Margaret Keane, Thomas Kinkade, Robin Koni, Félix Labisse, JH Lynch, Charles Mc Phee, Louis Shabner, 

Stephen Pearson, Vera Pegrum, Bob Ross, Michel Thomas, Louis Toffoli,

 Vladimir Tretchikoff. 

 

Pierre Ardouvin, Josse Bailly, Hsia-Fei Chang, Nina Childress, Mathis Collins, 

Pablo Cots, Somaya Critchlow, John Currin , Gabriele Di Matteo, Bert Duponstoq, Cyril Duret, Richard Fauguet, Gérard Gasiorowski, Jef Geys, Piro Kao, 

Philippe Katerine, Pierre & Gilles, Ernest T, Ida Tursic et Wilfried Mille, Julia Wachtel, Janet Werner, Stéphane Zaech.

 
 

Le MIAM–Hervé Di Rosa poursuit son travail de défrichage des territoires de l’art trop souvent ignorés. 

 

Qui n’a pas regardé avec admiration ou tendresse l’image encadrée d’un enfant qui pleure, d’un Poulbot aux joues rouges ou d’un clown de Bernard Buffet ? Pour beaucoup, la peinture c’est ça. 
Qui sont ces peintres ayant eu un moment de gloire populaire avant de tomber dans l’oubli, ces artistes au succès jamais démenti, pourtant relégués dans l’ombre de l’histoire ?

 

BEAUBADUGLYL’autre histoire de la peinture montrera sans complexe les peintures originales de ces artistes à la marge de l’imaginaire et du goût commun, qui ont parfois vendu des reproductions de leurs œuvres par milliers en supermarché et dont les posters nous sont familiers. Pour beaucoup, ce sera une première exposition en France. Ce panorama de la peinture commerciale, médiatique et populaire, de Vladimir Tretchikoff à Bob Ross sera mis en scène par Hervé Di Rosa et Jean-Baptiste Carobolante et s’attardera sur les différentes trajectoires qu’a pris ce champ pictural au XXe siècle : de l’idéalisation du corps féminin au paysage touristique, en passant par la médiatisation des peintres et la naissance d’un nouveau public artistique populaire. À chaque fois, les peintures présentées seront autant une réminiscence pour le public qu’une découverte radicale.


Cette exposition est particulièrement importante pour Hervé Di Rosa, qui, en plus du commissariat global de l’exposition avec Jean-Baptiste Carobolante, a été à l’initiative de la publication de la première bourse de recherche du MIAM, financée en intégralité par la Fondation Antoine de Galbert et encadrée par l’INHA. Jean-Baptiste Carobolante, lauréat de cette bourse, a entrepris depuis 2021 une recherche sur la peinture marchande, dont BEAUBADUGLY – L’autre histoire de la peinture sera le premier événement, avant la publication à venir d’un ouvrage. 

 

Au premier étage du musée, Colette Barbier et Nina Childress — commissaires associées pour cette partie de l’exposition – nous offriront des réponses conceptuelles, ironiques, potaches, admiratives, décalées, d’artistes contemporains de générations et d’origines diverses. Les trois-cents « croûtes » peintes au couteau, du très conceptuel Gabriele Di Matteo, toutes pareilles mais toutes différentes, feront le lien entre le rez-de-chaussée et le premier étage, entre l’histoire et le présent. Tout particulièrement, l’exposition présentera de nombreuses variations autour de l’héritage de la figure parisienne du « Petit Poulbot ». Cette sélection d’ œuvres contemporaines permettra de montrer l’importance de la « peinture marchande » dans l’imaginaire artistique contemporain. Elle donnera à voir à quel point le monde marchand est devenu un champ de référence iconographique incontournable pour comprendre les racines de la création contemporaine.  

 

BEAUBADUGLY – L’autre histoire de la peinture sera accompagnée d’un catalogue et d’un ouvrage scientifique. Jean-Baptiste Carobolante a bénéficié, pour le projet de recherche englobant cette exposition, d’une bourse MIAM/INHA, financée par la Fondation Antoine  De Galbert. 

 

­
Télécharger ici 
les visuels 
Télécharger ici 
le dossier
­

Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France
Accueil : +33 (0)4 99 04 76 44
www.miam.org.

 

Heures d'ouvertures :

Ouvert tous les jours de 10h à 18h00, sauf le lundi 

Du 2 novembre au 31 mars : ouvert tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 12h00 et de 14h à 18h00

Fermetures annuelles: 1er novembre, 25 décembre, 1er janvier et 1er mai

 

Tarifs : Adultes : 5,60 € - Etudiants, 10-18 ans : 2,60 €

Groupes de plus de 10 personnes : 3,60 € 

Moins de 10 ans, demandeurs d'emploi, groupes scolaires sétois, premier dimanche du mois : gratuit 

LA PETITE ÉPICERIE  (service pédagogique du MIAM) propose des ateliers de pratiques artistiques destinés à tous. Rens. inscriptions, tarifs : 04 99 04 76 46 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

­
Cliquez ici pour en savoir plus sur le MIAM

La ville de Poussan invite Anne Guillon à investir le foyer des campagnes de son univers onirique, sensuel et mystérieux.

Florence Sanchez, Maire de Poussan, Michel Bernabeu, Adjoint à la Culture, Gaëlle Guénal, Déléguée à la Culture et le Conseil Municipal de Poussan,
vous convient au vernissage de l’exposition Anne GUILLON le vendredi 14 juin 2024 à 18h30 au Foyer des Campagnes de Poussan

Visite de l’exposition du 14 au 30 juin 2024
Samedi et dimanche de 11h à 18h
Du mardi au vendredi, pour les groupes et les scolaires
sur rendez-vous au service culturel : 04 67 78 99 56 et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La ville de Poussan invite Anne Guillon à investir le foyer des campagnes de son univers onirique, sensuel et mystérieux.

Au fil des portraits, son travail délicat et sensible explore l’intime, la fragilité des choses, le temps qui passe, aux frontières du rêve éveillé. C’est dans la vieille ville de Pézenas que se cache l’atelier d’Anne Guillon, dont les toiles ajoutent à l’ambiance de la cité chargée d’histoire leur poésie hors du temps. La facture est contemporaine, il se dégage de ses contours une ambiance à la limite d’un conte oriental: l’effet des couleurs, la présence moirée des matières, l’atmosphère d’un jardin protégé confèrent à ses œuvres une douceur globale.

Les motifs décoratifs associés aux collages ont une présence sur l’ensemble du tableau et se jouent de la limite entre les personnages et leur environnement. Le cheminement d’une œuvre est progressif, fait de reprises multiples, accueillant l’intuition et l’aléa- toire. Il fait appel aux encres, acryliques, pastels, fusains, à l’huile, aux collages, aux impressions; chargé de couleurs, de traces, d’empreintes, il crée une âme entre les techniques qui se superposent en couches légères et raffinées. Ecriture personnelle, la peinture est ce langage que l’artiste s’invente au fil des jours.

Anne GUILLON nous précise : "Née dans le Gers le 10 Septembre 1964, je vis et travaille actuellement dans le Sud de la France, à Pézenas. De retour en France après de nombreuses années passées à l’étranger, j’entreprends des études supérieures en économie et finances et c’est avec un DEA en Banque et Finances que je repars travailler à la Réunion puis à Madagascar. Nouveau retour en 1997, et cette fois je choisis le chemin de la création et décide de me consacrer à la peinture."

"Autodidacte, mon travail est imprégné des voyages et de la somme de tous ces lieux habités depuis mon enfance. Je me dirige d’abord vers un travail abstrait, la toile va devenir une Terre d’asile pour tout une profusion d’éléments, un monde à faire naître. Au fil du temps, j’invente mon propre langage en peinture. La fragilité des êtres et des choses, le rêve et la douceur qu’il nous manque parfois, l’évocation des choses cachées en nous, l’esprit des sentiments ressentis, de ce langage pictural qui fait parler la matière va émerger une certaine figuration avec des personnages mêlés d’abstraction et de couleurs d’ailleurs."

"Mon « imaginaire vécu « est venu progressivement et naturellement à la rencontre de la vie ordinaire. Il n’y a plus de frontière entre le rêve et le réel, le senti et le vécu, le visible et l’invisible. Peindre pour réinventer ma façon d’être au monde et décider enfin de la couleur du ciel."

À découvrir prochainement au Musée Paul Valéry, l’exposition « JEAN HUGO – ENTRE CIEL ET TERRE »

Du 29 juin au 13 octobre 2024.
Entre ciel et terre
Pour son grand temps fort estival, le musée Paul Valéry a choisi d'offrir à ses visiteurs, une ode à la nature selon Jean Hugo. À la fois peintre, décorateur et écrivain, il demeure 40 ans après sa disparition un artiste majeur et singulier. Afin de présenter une vision la plus complète possible de son œuvre, les musées Paul Valéry, Fabre et Médard se sont associés pour que l'hommage prenne la forme de trois volets, présentés simultanément à Sète, Montpellier et Lunel, dans l'esprit de complémentarité initié par la candidature commune au label de capitale européenne de la culture pour 2028. À Sète, l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » a pour projet de montrer, à travers un important ensemble d’œuvres dominé par la question du paysage, que la représentation de la nature est pour Jean Hugo autant une célébration de l’ordre du monde dans son apparence qu’une volonté de faire ressentir ce qui l’anime. Elle vient compléter chronologiquement celle du musée Fabre de Montpellier qui s’attache à l’œuvre de Jean Hugo jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et son appartenance aux avant-gardes au début du XXe siècle. Ces deux expositions révèleront au public l’ensemble d’une œuvre foisonnante dans toute sa richesse, diversité et complexité, et lui permettront d’embrasser la personnalité de Jean Hugo, arrière-petit fils de Victor Hugo, sous toutes ses facettes.
À travers plus d’une centaine d’œuvres - peintures, dessins, livres illustrés, objets d’art – le parcours de l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » se développera dans les espaces d’exposition temporaire du musée, sur plus de 600 m², et invitera le visiteur à approfondir sa découverte de Jean Hugo, l’artiste et l’homme. Pendant quarante ans, entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et sa disparition en 1984, Hugo a poursuivi avec humilité une trajectoire artistique originale et rare, loin des avant-gardes et de leurs tendances iconoclastes.
Mondain et retiré dans sa propriété de Fourques à Lunel depuis 1929, parisien et rural, Jean Hugo a toujours considéré avec bienveillance la comédie humaine, dont il se voyait aussi comme un acteur. Il n’a cependant jamais cessé de porter un regard ardent et attentif sur les choses qu’il nous est donné de ressentir, de voir, de toucher, de sentir et de goûter, de la plus humble créature au produit le plus élaboré du travail des hommes. Corporelle et sensuelle, l’œuvre de Jean Hugo chante la nature comme une présence splendide.
Mais, nourrie d’une connaissance des territoires autant que d’une expérience intime, elle semble s’en éloigner dans le mouvement même où elle s’en approche. Le parcours de visite sera complété par un focus consacré au groupe Montpellier-Sète, bien représenté dans les collections du musée, avec lequel Jean Hugo avait partagé les murs d’expositions importantes et un autre dédié à Vincent Bioulès, avec qui Hugo entretenait des liens forts d’amitié. Avec l'exposition concomitante qui sera donnée à voir au musée Fabre de Montpellier, ainsi que l'exposition qui se tiendra au musée Médard de Lunel, l’événement sétois pourra permettre au public de mesurer combien cet artiste a pu relever le défi de porter le nom d’Hugo au rang du meilleur de la création artistique.
La spirituelle Louise de Vilmorin avait elle-même lancé : « Il est très difficile d’être descendant de Victor Hugo ; aussi il ne s’agit plus de descendre, il faut remonter. »
C’est ce que fit, Jean Hugo, arrière-petit- fils de Victor, avec toute la pudeur et l’élégance qui le caractérisaient. 2024, tout un territoire rend hommage à Jean Hugo (1994-1984) Né en 1894 et disparu en 1984, ce brillant arrière-petit-fils de Victor Hugo, a traversé presque tout le XXe siècle.
Tour à tour décorateur, peintre, poète et écrivain, il a réalisé plus de 1000 peintures et 3000 dessins, collaboré à près d’une cinquantaine de mises en scène théâtrales ou dansées, et ce tout au long de son existence. Il a largement contribué à plusieurs projets décoratifs et participé à de grands programmes artistiques à l’étranger. Illustrant les plus célèbres auteurs de son temps, il a montré une grande invention dans sa relation féconde avec l’éditeur Pierre-André Benoît. Enfin il a déployé un remarquable don d’écrivain dans des Mémoires où l’humour le dispute à la poésie, d’après des carnets de notes scrupuleusement tenus « an par an » qui font de lui un témoin exceptionnel du XXe siècle, acteur reconnu et fin observateur de tous les mondes sociaux et culturels qui l’ont constitué.
Après les rétrospectives de Toronto en 1973, Sète en 1974, Paris en 1976 et Montpellier en 1978 et 1995, cette saison-hommage dédiée à Jean Hugo en Occitanie en 2024, avec ses temps forts à Sète et Montpellier et aussi d’autres événements,- comme à Lunel, ville où il aura demeuré plus de cinquante ans -, espère marquer une nouvelle étape dans l’historiographie de cet artiste aussi grand qu'il était attachant.
Commissariat
Sous le commissariat général de Michel Hilaire, Directeur du Musée Fabre et de Florence Hudowicz, conservatrice en chef du patrimoine, responsable des arts graphiques et décoratifs au Musée Fabre, l’exposition « Jean Hugo. Entre ciel et terre » est placée sous le commissariat de Stéphane Tarroux, Directeur du Musée Paul Valéry, et d’Ingrid Junillon, conservatrice du patrimoine au Musée Paul Valéry. Catalogue Co-édité avec le musée Fabre de Montpellier aux Éditions Snoeck
En partenariat avec
Jean Hugo, Plantation d’une vigne, 1957. Huile sur contreplaqué. Musée des Beaux-Arts, Nîmes. © Florent Gardin
Musée Paul Valéry
148, rue François Desnoyer - 34200 - Sète
Tél. : (33) 04 99 04 76 16
www.museepaulvalery-sete.fr
Jours et horaires d’ouverture
Du mardi au dimanche de 10h à 18h.
(le musée est fermé le lundi).
Visites commentées le mercredi et le samedi à 15h (4 personnes minimum)

Géraldine Luttenbacher, admirable créatrice de bijoux, ouvre les portes sur une partie de son univers

Évoquer son travail en termes dithyrambiques pourrait être plaisant tant il paraît naturel et agréable d'apposer des qualificatifs positifs sur celui-ci. Mais le mieux , et de loin, est encore d'en parler avec elle ! Ce qui est tout à fait possible, puisque Géraldine Luttenbacher, admirable créatrice de bijoux, qui a ouvert les portes sur une partie de son univers ( lors des Journées Ateliers Portes Ouvertes du week-end dernier ) ne les refermera qu'à la fin de la semaine.

Jusqu'au 26 mai 2024

A voir et  mai revoir 30 rue Paul Valéry à Sète de 12 h à 20 H jusqu'à dimanche.

EXPOSITION : ALAIN SIGNORI

Du mardi 07 mai au vendredi 07 juin 2024

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi

de 10:30 à 17:00

Samedi, dimanche

de 10:30 à 19:00

Espace Félix
2 Quai Général Durand
34200
SETE
Ne manquez pas, du 7 mai au 7 juin, l'exposition d'Alain SIGNORI.

Le travail de l'érosion que le temps et la nature ont fait subir à cette ferraille a créé l'alchimie entre elle et moi. Une espèce de magie par la destruction qui sublime un simple et brut morceau de ferraille en un objet envoûtant et presque vivant. Un façonnage naturel que l'homme pourrait difficilement obtenir par le travail. 

Alain Signori



Entrée libre
Téléphone : 04 67 74 48 44
Téléphone artiste : 06 98 11 97 72

"Z", une exposition signée Charles Thiefaine sur les habitants de l'île de Thau

Dans le cadre de “Civis Maritimus” et du parcours “Itinérances Foto”, l’exposition “Z” de Charles Thiefaine a récemment été inaugurée à la Passerelle.

Photographe et journaliste, Charles Thiefaine, doté d’un troisième œil, (son appareil photo) pose son regard sur des instants de vie. Dans la série “Z”, l’artiste est allé à la rencontre des habitants de l’île de Thau offrant un récit photographique de ce quartier sétois. Par la photographie, il explique vouloir “proposer des pistes de réflexion autour de la vie au bord de l’eau et sur la citoyenneté de la Mer”.

Une exposition à venir découvrir sur les murs de la Passerelle, à l’île de Thau et à la salle Tarbouriech.

Sète, une nouvelle exposition à l'atelier de Catherine Lévêque

Sète, une nouvelle exposition à l'atelier de Catherine Lévêque.

Ça commence le samedi 18 et ça dure jusqu'au mercredi 29 mai à l'Open Space 8 rue Garenne à Sète.

À ne pas manquer !
Ça commence le samedi 18 et ça dure jusqu'au mercredi 29 mai à l'Open Space 8 rue Garenne à Sète.