Cette semaine à Loupian
Loupian
visible en permanence de l'espace public.
Quinze cartes dessinées à la main par des personnes Syriennes que l’artiste Sammy Zarka a interviewées dans le cadre de recherches dont il s’est inspiré pour la réalisation de son exposition « Floating Homes » visible au musée gallo-romain Villa Loupian.
Telles des graffitis, ces cartes représentant les plans de leurs anciennes maisons numérisés et superposés pour être exposés sur le mur de l'Espace o25rjj, la résidence d'artistes où Sammy Zarka a développé la conception et la réalisation de son projet d’exposition.
L'ensemble des cartes suggère un espace de mémoire collective, imaginant l'ultime échelle de réduction où ces individus deviennent l'incarnation de ces maisons.
Cette œuvre s'intègre au parcours-expositions entre Musée gallo-romain Villa Loupian et l'Espace o25rjj en partenariat avec la Région Occitanie et Sète Agglopôle Méditerranée.
L'exposition "Floating Homes" de Sammy Zarka est à voir jusqu'au 7 octobre 2024 au Musée gallo-romain Villa Loupian.
Sammy Zarka est né en 1992 a vécu 20 ans à Damas (Syrie). Au cours de recherches en architecture, il se concentre sur la reconstruction après la guerre à partir de la mémoire collective. Actuellement, l'exploration des changements socio-spatiaux causés par le déplacement est au centre de son travail de plasticien. Il transpose ses archives, souvenirs d’habitations perdues pour concevoir une nouvelle mémoire à travers des installations composées de sculptures, objets en céramique, en impression 3D associés à des matériaux qui contribuent à l’aspect visuel de son travail mettant en évidence la nature transformative des récits qu'il explore.
Spectacle projeté par RUFFE Vidéos, spécialiste de la réalisation et la diffusion de spectacles en mapping vidéo (projections architecturales).
Amateurs d’archéologie, passionnés d’histoire antique ou simples curieux avaient rendez-vous ce week-end, en effet ces 27 et 28 juillet à la Villa Loupian (Musée gallo-romain), pour une nouvelle édition.
L’événement permettait de découvrir tout en s’amusant la vie quotidienne des civilisations romaine, grecque et celte. Il attire chaque année un large public qui plébiscite de plus en plus ces expériences immersives.
Et avec l'observation de campement chez les celtes et les romains, avec la découverte de l’archéologie expérimentale, et de la musique festive et traditionnelle il y avait de quoi se faire plaisir.
C'était d'ailleurs le but de ces Augustales depuis de nombreuses années pour les habitants du territoire mais aussi pour les vacanciers comme le précisait Alain Vidal, Maire de Loupian...
De nombreux artisans étaient présents vous faisaient voyager dans le temps à travers des démonstrations saisissantes. Les enfants avaient eux-aussi l’embarras du choix. Des ateliers pour les divertir intelligemment durant ces deux journées d’exception. Ecriture, coiffure, tissage, initiation à l’archéologie, maquettes, jeux antiques…
il y en avait vraiment pour tous les goûts tandis que des troupes de reconstitution donnaient une dimension toujours plus réaliste à la manifestation. Vie de camp chez les Grecs, les Celtes et les Romains, manœuvres militaires, techniques de combat, présentation d’équipements et d’armes… le programme était très riche ludique et instructif. Le travail du cuir, le façonnage de céramique ou encore la fabrication d’objets en bronze ou de lampes à huile n’avaient également plus aucun secret pour le public.
Et par ailleurs, même les plus gourmands n'étaient pas oubliés avec un stand de restauration rapide tandis qu'avec la chaleur la buvette du musée proposait toutes sortes de boissons.Présentations en continu sur les camps :
- Archerie celte, techniques de combat chez les celtes et les germains, présentation des guerriers celte et germain et du légionnaire romain, manœuvres militaires sur les camps, et démonstrations sportives.
Les enfants pouvaient participer à divers ateliers tels que :
- Couronnes de fleurs, bijoux celtes, fibules
- Coiffure, jeux antiques, tissage
- Cuisine grecque, écriture en runes, perles en terre (à partir de 6 ans)
- Initiation à l’archerie celte et aux techniques de combat des grecs (à partir de 8 ans)
Tout le week-end des démonstrations d’archéologie expérimentale et d’artisanat antique :
- Métallurgie du bronze, cuir, vêtements antiques
- Médecine antique, fabrication de lampes à huile, mosaïque, architecture
- Corderie antique, dédicaces BD historiques
Un seul mégot suffit à brûler toute une forêt.
Avec le Département de l'Hérault, luttons ensemble contre les incendies.
Votre Département lutte contre les feux de forêt
L’Hérault mêle tous les facteurs favorisant l'explosion des feux de forêts : une forte pression urbaine, une végétation dense, des vagues de chaleur couplées à la sécheresse et à des vents dominants. 1 201 départs de feux de forêt se sont déclarés en 2022. Face à cet enjeu majeur, le Département agit sur tous les fronts.
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Nous équipons les pompiers de l'Hérault
Avec une dotation de 58,6 M€ en 2023, le Département dote le SDIS 34 d’un matériel moderne et sécurisé pour intervenir dans les meilleures conditions :
- 1100 véhicules d’interventions et engins roulants,
- 1 robot sous-marin pour la recherche et les investigations en eau profonde,
- 3 avions bombardiers d’eau,
- un hélicoptère de commandement,
- des drones pilotés par une cellule d’intervention,
- 1 plateforme commune des appels d’urgences 15-18-112,
- Un centre de formation et de mise en situation (utilisant notamment la technologie de simulation virtuelle) à Gignac. Unique centre en Occitanie, il sera opérationnel dès 2024.
Zoom sur 4 grands projets pour 2024 ! Un fourgon électrique de lutte contre les incendies urbains, le 1er bateau-pompe de lutte contre les incendies portuaires pour le port de Sète, 3 nouvelles casernes en Hérault (Béziers, Montpellier et Nissan-lez-Ensérune), de nouveaux moyens pour préserver la ressource en eau potable avec des véhicules porteurs d’eau.
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Nous entretenons les massifs
Été comme hiver, les 105 forestiers-sapeurs du Département ont une mission vitale dans tous les massifs héraultais. Débroussaillage, élagage, nettoyage... ils sont à pied d’œuvre pour entretenir les équipements DFCI (pistes, citernes, barrières …) destinés à protéger les 200 000 hectares de garrigues, bois et forêts du département.
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Nous sensibilisons contre les imprudences
Près de 50% des départs de feux pourraient être évités en augmentant le niveau de vigilance.
Pour renforcer l’impact de ces messages de prévention, le Département a fait le choix de s’allier avec l’Entente Valabre ( Cet établissement public produit chaque année des campagnes de prévention diffusées sur l’ensemble des territoires méditerranéens)
Affiches, dépliants, vidéos ... ce partenariat renforce la visibilité et l’impact des messages qui seront distillés tout l’été aux Héraultais et aux vacanciers.
Les bons gestes contre les feux de forêt
90% des incendies sont d'origine humaine, dans la plupart des cas accidentelle. C'est pourquoi votre vigilance fera la différence.
Rappel des bons réflexes :
- Zéro mégot - il est d'ailleurs interdit de fumer en forêt
- Barbecue ou camping dans les zones prévues à cet effet
- Guetter et donner l'alerte : respecter les interdictions en période à haut risque et donner l'alerte en cas de début d'incendie : 112 ou 18
Découvrez les 5 écogestes pour vos déplacements dans la Nature
Permanences de 10h à 12h et de 16h à 19h.
"Marina HIRLEA est une artiste qui explore, qui est en recherche permanente, guidée par ses envies, idées, inspirations, mais aussi au fil, au gré de ce que la création de ses œuvres génère en elle. Une œuvre en amenant une autre. Son intention : explorer les traductions possibles de ce que la nature évoque comme émotions et invite à la contemplation". Laurent JEANNIARD, galerie Art Traffik
Germaine GUILLEMOT-MALZIEU est une artiste mézoise amoureuse de l'art depuis sa jeunesse, mais qui a commencé à peindre sur le tard, seulement il y a trois ans, plutôt brusquement comme si l'appel de la peinture ne pouvait plus se laisser attendre un seul instant. Sa peinture déborde de spontanéité, sa façon de peindre est rapide, effervescente. Son univers : les oiseaux, la nature, le mouvement, les portraits.
Sammy Zarka né en 1992 a vécu 20 ans à Damas (Syrie). Au cours de ses études d’architecture, il se concentre sur la reconstruction après la guerre à partir de la mémoire collective. Actuellement, l'exploration des changements socio-spatiaux causés par le déplacement est au centre de son travail de plasticien. Il transpose ses archives, souvenirs d’habitations perdues pour concevoir une nouvelle mémoire à travers des installations composées de sculptures, objets en céramique, en impression 3D associés à des matériaux qui contribuent à l’aspect visuel de son travail mettant en évidence la nature transformative des récits qu'il explore.
Une œuvre de Sammy Zarka sera également visible sur la Façade Locale d’Art Contemporain (F.L.A.C.) de l’Espace o25rjj, lieu de résidence de l’artiste pour la création de ses œuvres, situé au centre du village de Loupian.