Le musée de site gallo-romain Villa-Loupian et son site archéologique présentent un domaine viticole gallo-romain. Il abrite l’un des rares exemples, en France, de conservation et de présentation de mosaïques romaines à leur emplacement d’origine. Il est l’aboutissement de plus de quarante années d’études et de travaux archéologiques qui ont permis de sauvegarder et de présenter les pavements polychromes de l’antiquité tardive (Ve s ap. J.-C., classées au titre des Monuments Historiques).
Il a été attiré par le dessin dès son plus jeune âge. Pourtant il se mettra à dessiner qu’en 2020 se sentant prêt pour se lancer dans l’aventure. Durant quelques années, il sera employé dans différents bureaux d’études d’architecte paysagistes en réalisant un petit tour de France géographiquement.
Les contraintes du métier feront qu’il le quittera pour devenir un saisonnier avant que pour des raisons familiales il ne se rapproche de Sète en 2008 où il résidera durant 3 ans. Puis ce sera Poussan où il vit depuis 2012…
Inspiré en partie par EDIKA et Fluide Glacial qui lui inspirèrent un style et qui lui donnèrent envie de s’exprimer. (Édouard Karali, dit Édika, est un dessinateur et scénariste français de bandes dessinées humoristiques.), il dessinera de nombreux petits bonhommes qui resteront longtemps sa marque de fabrique.
Et en 2017, il a l’occasion d’exposer ses dessins, ses oeuvres, à Poussan pour le salon « Songes d’automne » qui réunit chaque année de nombreux artistes. Motivés par un certains succès, des achats aussi, il a depuis multiplié les expositions sur le Bassin de Thau principalement.
Et même pour certains décors de « Demain nous appartient », ses réalisations ont été retenues.
Pourtant en 2020, Covid oblige, plus d’expos…
Il en profite donc pour se poser un peu mais le destin va relancer son inspiration, son désir de création…
Un Poussannais lui offre une série de 33 tours (vinyle) avec même des 45 et des 78 tours. C’est le déclic. Pourquoi ne s’en servirait-il pas pour créer ?
Et pourquoi sur ces disques ne pas retenir l’idée des mandalas qui permettrait une infinité de réalisations….
Entre Chopin et Pink Floyd, entre Valses de Vienne et Reggae, il va se lancer. Comme outils scripteurs des feutres à peinture acrylique, des « POSCA », de différents diamètres, de multiples couleurs. Et il y prend beaucoup de plaisir.
« En fonction de l’humeur du moment, de l’inspiration et des couleurs choisies, je compose. Dessins et graphies ne sont jamais les mêmes, il y a des compositions épurées, d’autres plus denses et quelquefois on y retrouve mes petits bonhommes ». Précise Franck.
Et même si parallèlement il réalise une BD sur l’environnement en partenariat avec Christophe Morgo, Conseiller Départemental, motivé par le beau succès de ces disques vinyle customisés il poursuit son travail en laissant aller son imaginaire et ses créations sont toujours aussi belles.
Alors, n’hésitez pas à le contacter sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 06.72.76.33.55 ou encore à visionner certaines de ses oeuvres sur Facebook : POFAttila (sa page professionnelle) : https://www.facebook.com/search/top?q=pofattila
. Après avoir accueilli 4 artistes en résidence, un vernissage est organisé pour une restitution le vendredi 23 juillet au réservoir, à partir de 17heures, en présence des artistes.
. Pour découvrir ces œuvres, rendez-vous au Réservoir de Sète.
La 18ème édition des Rendez-vous aux Jardins aura lieu au Jardin Antique Méditerranéen les 5 et 6 juin prochain sur le thème "la transmission des savoirs".Au programme : portes ouvertes tout le week-end de 10h à 12h et de 14h à 18h (dernière entrée 1h avant la fermeture). A cette occasion, vous pourrez découvrir la nouvelle exposition du Jardin Antique « HERBA DIVA », de David Huguenin Pour faire suite à l’exposition « Lapis Fructus » inaugurée en septembre 2020 au Musée gallo-romain Villa-Loupian, David Huguenin, artiste photographe vous invite cette année à découvrir l’exposition « Herba Diva » au Jardin antique Méditerranéen. Ces deux volets d’un même thème se proposent de mettre en relation le monde végétal, la variété de ses formes (figurés à Loupian sur les mosaïques, réels et vivants dans le jardin de Balaruc-les-Bains), et la mémoire symbolique des divinités antiques. L’origine des images présentées à cette occasion est le jardin même. Nymphes, déesses et dieux sont ainsi évoqués par les arbres, fleurs ou fruits qui leur sont associés. Exposition du 5 juin au 5 septembre au Jardin Antique Méditerranéen.
Salle Tarbouriech Théâtre de la Mer Promenade Maréchal Leclerc 34200 Sète
DU 07 Juin AU 13 Juin
Salle Tarbouriech Théâtre de la Mer Promenade Maréchal Leclerc 34200 Sète
Du 7 au 13 juin, découvrez l'exposition "Chansons & Toiles" à la salle Tarbouriech dans le cadre du centenaire Brassens. Des rencontres et concerts sont prévus pendant toute la semaine. Découvrez le programme détaillé ci-dessous sur cette page. Entrée gratuite.
Depuis le 19 mai, le Crac Occitanie a ouvert ses portes au public avec des modalités adaptées pour une visite des expositions en toute sérénité et dans le respect du protocole sanitaire (jauges limitées, sens de visite unique et balisé, port du masque obligatoire, etc.).
Du 15 au 22 juillet 2021une dizaine d’artistes plasticiens régionaux (peintres, dessinateurs, verrier, sculpteurs, tourneur sur bois, mosaïste, spécialistes du raku, céramiste , photographe) exposerontà l’invitation du Rotary Club de Sèteà la Chapelle de Pénitents à Sète - 98 Grande Rue Mario Roustan
Une exposition vente au profit de l’association ASTRID
Il y avait monde pour l’inauguration de l’exposition organisée par le Rotary Club de Sète au profit de l’association ASTRID, association qui porte le prénom d’une petite sétoise décédée il y a 10 ans d’une maladie rare cardio pulmonaire infantile, une association qui œuvre pour adoucir la vie des enfants hospitalisés dans les services cardio pulmonaires infantiles de notre région mais aussi sur Paris. Une inauguration en présence de Madame Corporon, représentant Monsieur le Maire et de Xavier Giner Président de l’association ASTRID.
Une exposition solidaire, chaque artiste ayant accepté de reverser à l’association ASTRID, en fin d’exposition, un pourcentage des ventes qu’il aura réalisées au cours de l’exposition.
Un cadre exceptionnel pour des artistes contents de pouvoir de nouveau présenter leurs réalisations après une longue période de fermeture des lieux d’exposition en raison de la Covid 19.
Les œuvres présentées couvrent de nombreux domaines des arts plastiques : la peinture sur toile, tissus, galets, papier, la peinture à l’encaustique, l’aquarelle, le dessin, la technique du pointillisme, l’art du verre, le travail sur bois, la sculpture, la céramique, le raku, la mosaïque, l’art urbain, l’art numérique, la photographie.
Sont également présentées neuf œuvres réalisées dans les ateliers « art thérapie sens et nature » et « sculpture fer » par des élèves du Pôle Jeune de la Corniche, établissement du groupe SOS Solidarités ; des créations qui montrent l’importance des structures éducatives pour le développement du sens et de la créativité artistiques chez les jeunes.
De belles vraies raisons pour vous rendre à la Chapelle des Pénitents de Sète d’ici le 22 juillet, sans compter que cette Chapelle, édifice du patrimoine religieux de la ville, est aussi le lieu où est conservé la statue de Saint Pierre, patron de pêcheurs de la ville. C’est de cette Chapelle que démarre chaque année la procession du Grand Pardon de la Saint-Pierre, fête traditionnelle en hommage à la mémoire des marins disparus en mer.
Serge et Martine Béziac présentent à l’atelier 25 l’exposition « Nouages VI »
Vernissage de l’exposition Nouages VI Le vendredi 23 juillet 2021 à 18h
Visite de l’exposition tous les jours du vendredi 23 juillet au dimanche 1er août de 17h à 21h
Entrée libre
Atelier 25 25, rue Villaret-Joyeuse Quartier haut - Sète (proche du bar le Social et de la place de l’Hospitalet)
Alors que les rencontres des « Voix vives de la méditerranée » font résonner les ruelles du Quartier haut des accents colorés de la poésie méditerranéenne, Martine Beziac transforme son atelier en espace galerie et propose un dialogue entre sa peinture et les céramiques de Michèle Suquet.
Une expression duelle nourrie par l’imaginaire singulier qu’inspire un espace de confrontation entre lumière et matière, une ligne de partage minérale et fluide, un hommage âpre et aérien à la Méditerranée, lieu de rencontres et d’histoires, finistère ouvert sur l’infiniment bleu. Cette année encore, Nouage est arrimé aux bords vifs de la belle bleue. Leur dialogue poursuit ainsi une déclinaison sensible, impressions croisées, laissées en chacune par le côtoiement de la mer.
Michèle Suquet (Sculpture Céramique) :
"Installée à Marguerittes dans le Gard, je pratique l’art céramique depuis 1990."
"Depuis mes premiers travaux, d’abord figuratifs, ma démarche reste orientée par le jeux de contrastes que l’argile ouvre par son processus de transformation par le feu. Je travaille par séries distinctes, cela me permet d’explorer de multiples tensions et variations entre volumes et textures. Passant du rugueux au lisse, des angles au courbes… Quête d’un étonnement poétique qui ne se révèle qu’au secret du four.
« Nouages » c’ est un rendez vous important pour moi, un noeud à plusieurs brins : celui de l’Art - avec la peinture la céramique, la poésie - celui de la mer comme inlassable inspiration et surtout celui de l’amitié sans lequel il ne serait pas. Après une longue interruption et l’épreuve de la pandémie c’est une vraie joie de se retrouver à l’Atelier 25 pour ce « NOUAGES VI ».
J’y présente « Brise-lames » une série de blocs en grès altérés de lave, d’oxydes et d’engobes. A Sète le brise lames semble être bien plus qu’une digue, c’est un lieu, une présence !
M’en approcher une fois m’a donné un fort désir de traduire en céramique quelque chose éprouvé là . Quelque chose venu des cubes énormes accumulés, de leur sévérité bétonnée, des Incisions vives de leurs arêtes dans les bleus de la mer.
Beauté immense, solide, vigilante ! Donnant en creux le sentiment d’une fragilité confiée aux interstices de ces blocs solidaires. Je suis heureuse de pouvoir présenter cet année, en dialogue avec les peintures de Martine Béziac, un travail en écho à cet ouvrage."
Martine Béziac Peintre Travaille dans son atelier du Quartier Haut à Sète.
Elle nous précise :"Le bleu est mon univers. Ni figuratives, ni abstraites, mes toiles suggèrent la mer, le ciel. La peinture est préparée à partir de pigments purs enrichis de charges minérales. Les collages et les empreintes viennent se surperposer sur la toile. L’oeuvre proposée rend compte de ce qui reste de visuel dans ma mémoire. Dans mon atelier, face au port, je suis envahie par la lumière de sète. Cette année je suis heureuse de présenter mes toiles pour un nouveau “ Nouage ” avec les céramiques de Michèle Suquet."
Le réservoir présente la restitution de résidence dédiée à l’art africain dans son espace sétois. Celle-ci aura lieu le 23 juillet à partir de 17h et présentera le travail de 4 jeunes artistes accueillis en résidence pour l’occasion du 15 juin au 15 juillet.
Cette exposition s’inscrit pleinement dans la dynamique insufflée par la tenue future du 28eme sommet France-Afrique au cœur de la ville de Montpellier et de sa Métropole du 7 au 9 octobre 2021. Elle s’inscrit également dans le cadre d’un partenariat passé avec la Fédération Artistique
Artistes présents: Rafiy Okefolahan Gbais Obou Bella Bah Wel Rimo
2 expositions à l'occasion de cet anniversaire particulier :
FOREVER MIAM
4 juin 2021 au 9 janvier 2022
A l’image de tubes ou albums pop iconiques comme Forever Changes du groupe Love ou Forever Young de Bob Dylan, le MIAM résonne en nous comme une chanson !
Forever MIAM raconte l’histoire du musée, depuis sa création en 2000 par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, et derrière, la programmation d’une quarantaine d’expositions et l’histoire des Arts Modestes.
L’exposition s’organise autour de la sculpture géante le SURMIAM, créée pour l’occasion par Hervé Di Rosa à partir des quatre lettres M.I.A.M., avec la double fonction de vitrine et de meuble d’assise pour les visiteurs.
Les 20 ans du musée sont évoqués par une sélection d’oeuvres et d’objets de la collection, des cartes inédites des Territoires de l’art d’Hervé Di Rosa, ainsi que par une documentation inédite de photos et de vidéos rappelant les temps forts de l’histoire du MIAM.
Un disque vinyle 45 T de l’Hymne du MIAM, est réédité pour les 20 ans, composé, réalisé par Patrick Chenière alias Général Alcazar et Pascal Comelade. La pochette est créée par Hervé Di Rosa.
Commissariat : Françoise Adamsbaum assistée de Sylvie Côte
Le MIAM défriche et présente les oeuvres d’artistes français influencés par le mouvement psychédélique. De la genèse à nos jours, de nombreuses oeuvres inédites issues de collections privées et d’institutions seront exposées dans un kaléidoscope jubilatoire à l’image de cette parenthèse enchantée ...
Héritier du surréalisme, des mandalas, cousin de la Beat Generation, de l’Op et du Pop, l’art psychédélique est porteur de visions irréelles flamboyantes, idéales ou cauchemardesques. Le terme psychédélique apparait en 1957 au terme d’échanges épistolaires entre l’écrivain Aldous Huxley et le psychiatre Humphrey Osmond, il signifie « révélateur de l’âme » et définit tout état relatif à la prise de psychotropes aux effets hallucinogènes.
Au cours du XX° siècle, les substances psychédéliques présentes dans la nature et connues depuis des millénaires par les chamanes, sont synthétisées et font tout d’abord l’objet d’une grande curiosité scientifique. En Occident, entre 1947 et 1976, l’intérêt pour la recherche dans ce domaine explose, les psychédéliques sont alors considérés comme les outils de l’exploration de l’esprit humain les plus prometteurs que la psychologie n’ait jamais connus.
Les recherches portent sur l’expérience mystique occasionnée par les hallucinogènes, l’expérience sociale et les possibles traitements de l’anxiété, des addictions ou des troubles neurologiques. Parallèlement, de nombreuses recherches scientifiques sont menées dans la sphère militaire pour tenter d’utiliser les substances psychédéliques comme des armes de guerre, sans succès avéré.
Malgré une évidente disgrâce institutionnelle, les psychédéliques continuent leur propagation dans la société à partir du milieu des années 60 et trouvent un écho spectaculaire dans la musique et le domaine pictural.
Si la majeure partie des plasticiens du mouvement s’exprime avec succès sur des pochettes de disques, des bandes dessinées ou des posters manufacturés, les expressions comme la peinture, le dessin ou le cinéma peinent à trouver leur place dans les réseaux artistiques officiels. La société du spectacle permanent a immédiatement absorbé les esthétiques de l’expérience si profonde du « voyage » psychédélique, aux dépens d’une véritable reconnaissance artistique.
Privé de visibilité, ce mouvement underground sans manifeste développé dans la transe de l’expérimentation, sombre injustement dans l’oubli au cours des années 1980. Pourtant, le psychédélisme mérite toute sa place dans la mythologie collective et l’histoire de l’art moderne.
La France, traditionnellement secouée par des courants artistiques et philosophiques d’avant-garde, a vu se développer les talents de nombreux créateurs visionnaires.
Dès 1965, une poignée de dandys sortie de la Coupole à la suite de Pierre Clémenti et Jean-Pierre Kalfon tente l’expérience acide : Jean Jacques Lebel organise des happenings avec le sculpteur/cinéaste Daniel Pommereule, le groupe Mandala autour de Jean-Claude Bailly et Jean-Pierre Guimard rend hommage au Grand Jeu cher aux surréalistes et devient prosélyte du LSD encore légal, tandis que de nombreux artistes solitaires poursuivent leurs recherches picturales en toute confidentialité.
L’exposition PSYCHEDELICES imaginée par le Musée International des Arts Modestes, rassemble pour la première fois les oeuvres de peintres et plasticiens influencés par leurs visions clandestines et définit les contours d’un mouvement artistique majeur.
Le récent regain d’intérêt pour les substances psychédéliques dans la recherche scientifique aux USA comme en Europe, la dépénalisation de l’usage des champignons hallucinogènes dans certains états d’Amérique et les déclarations de Reed Hastings, co-fondateur et directeur de NetFlix (affirmant que l’avenir du divertissement s’incarnerait dans les substances chimiques récréatives) font du phénomène psychédélique l’enjeu de questionnements nouveaux sur l’importance de ces substances dans nos sociétés. Psychédélices permet une immersion garantie sans danger dans l’univers psychédélique, à travers les oeuvres d’artistes français ou travaillant en France.
Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France
+33 (0)4 99 04 76 44
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - www.miam.org