Les 1ères Rencontres Mobilités Urbaines et Territoires, prévues ce vendredi 29 mars à Montpellier,se tiendront finalement au cours du mois de mai 2024, dans le cadre de la présentation et du dépôt final de la candidature montpelliéraine au statut de Services Express Régional Métropolitain (SERM).
Ces rencontres seront l’occasion d’un grand rassemblement des territoires pour évoquer les mobilités de demain et porter la candidature du SERM Montpellier Méditerranée auprès de l’État.
Ainsi, la Région renforce son soutien aux investissements dans les exploitations agricoles et les CUMA, en portant de 28 M€ à 50 M€ l’enveloppe qui leur est dédiée. S’ajoute la mise en place de dispositions spécifiques pour les jeunes agriculteurs dans le cadre du PASS Petits Investissements, afin qu’ils lancent le plus vite possible leurs investissements les plus urgents. Le taux d’aide est également augmenté à 40 %.
Simplifier l’accès aux aides
En plus de renforcer son engagement en faveur des filières agricoles, la Région continue aussi de simplifier les modalités d’accès à ses dispositifs d’aide. Ce sera notamment le cas des Contrats d’Agriculture Durable. Autre point crucial : la Région a rattrapé les retards de paiement, liés aux compétences qui lui avaient été transférées début 2023 sur la gestion des fonds européens du FEADER. Pour y parvenir, elle a recruté 17 agents, qui se sont ajoutés à ceux provenant des rangs de l’État.
La plateforme d’achat Occit’Alim s’ouvre aux territoires
Les lycées publics ne seront plus les seuls à pouvoir se fournir en produits locaux et de qualité auprès d’Occit’Alim. Créée en 2020 par la Région dans le but de garantir l’accès à une alimentation de qualité, cette plateforme d’achats s’ouvre aux collectivités territoriales.
Pour ce faire, la Région crée un Groupement d’Intérêt Public auquel participeront à ses côtés d’autres membres fondateurs, dont l’État, le Conseil Départemental de l’Ariège, la Métropole de Toulouse et celle de Montpellier, la Communauté d’agglomération du Sicoval, les communes d’Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), de Lavaur (Tarn), de Foix (Ariège), Pujaudran (Gers), le collège du Val d’Arros (Hautes-Pyrénées)…
Cette ouverture apportera de nouveaux débouchés sécurisés aux agriculteurs locaux.
Continuer à sécuriser la ressource en eau agricole
Pour préserver les agriculteurs du manque d’eau et des sécheresses à répétition, la Région renforce la sécurisation de cette précieuse ressource, notamment en articulant son Réseau Hydraulique Régional (RHR) avec d’autres projets hydrauliques locaux (réutilisation d’eaux usées traitées, retenues collinaires…) et en préparant son extension jusqu’aux Pyrénées-Orientales.
Enfin, dernier point et non des moindres : la prochaine Politique agricole commune (PAC) qui entrera en vigueur en 2027. Pour la Région, elle devra adapter son soutien aux réalités économiques des filières et tenir compte des spécificités de l’agriculture méditerranéenne. C’est pourquoi Carole Delga se rendra à Bruxelles ce mois-ci, comme elle l’avait promis aux agriculteurs en janvier.
Réunis en commission permanente le 1er mars 2024, les élus de la Région Occitanie ont voté de nouvelles dispositions en matière d’alimentation, d’économie d’énergie, d’énergie renouvelable et de transport durable, permettant ainsi d’accélérer le Pacte Alimentaire Durable et le Pacte Vert.
La commission permanente a adopté ce vendredi 1er mars l’amplification du dispositif « Bien manger pour tous », le déploiement de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments de la Région, des travaux dans les lycées, mais aussi dans les gares. Par ailleurs, les élus de la Région Occitanie ont voté la création d’une plateforme de mutualisation des outils de sensibilisation pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme.
Pacte Alimentaire Durable : de nouvelles expérimentations
Comment manger sainement et local avec un petit budget ? C’est à ce « casse-tête » pour les étudiants que tente de répondre depuis plusieurs années la Région Occitanie avec « Bien manger pour tous ». Né durant la crise du Covid-19, ce dispositif, basé sur des cours de cuisine, continue d’évoluer et de se déployer au regard des besoins sans cesse grandissants.
D’abord expérimenté auprès des étudiants de Toulouse et Mende, « Bien manger pour tous » a été déployé en 2023 aux jeunes précaires (travailleurs et sans emploi) dans trois départements : l’Aveyron, l’Ariège et la Haute-Garonne. C’est ainsi que, l’an dernier, 240 jeunes ont participé à des cours de cuisine adaptés à leurs contraintes budgétaires et logistiques, et que 300 repas complets, préparés dans le cadre de ces ateliers, ont été servis.
Un budget supplémentaire de 40 000 € vient d’être voté pour déployer « Bien manger pour tous » dans d’autres départements.
L’association régionale Dem & Terria étudiera la possibilité que les produits alimentaires de la centrale d’achat régionale Occit’Alim soient fournis aux acteurs de la restauration collective via les transports en commun liO (bus et car).
L’étude de faisabilité devra porter sur le bilan carbone, nutritionnel, économique et social, ainsi qu’une modélisation en vue d’une extension à tout le territoire d’Occitanie.
Changement climatique : nouveaux travaux dans des lycées
Autre fer de lance de la Région : l’adaptation des lycées publics au réchauffement climatique pour en limiter les risques. Dans le cadre du « Pacte vert », de nouvelles mesures concrètes sont adoptées pour un montant de 32,6 M€.
Des travaux de rénovation, de réhabilitation et d’économies d’énergie (menuiserie, isolation toitures, VRD et mur de soutènement) vont être lancés dans une dizaine de lycées à Colomiers (31), Toulouse (31), Montauban (82), Graulhet (81), Albi (81), Foix (09) ou encore Lattes (34).
Les économies d’énergie, le développement des énergies renouvelables et la modernisation des établissements sont le fil rouge des investissements de la Région au bénéfice des jeunes et de leur réussite. L’année dernière, en 2023, une autre enveloppe de 30 M€ avait déjà été attribuée.
Des panneaux photovoltaïques sur les parkings
Toujours dans le cadre du « Pacte vert », l’objectif de la Région est de déployer massivement le photovoltaïque et de multiplier par cinq la production actuelle afin de devenir une région à énergie positive à l’horizon 2050.
Une étude a permis de définir un gisement potentiel de plus de 15MWc (soit environ 35 000 panneaux) : la pose d’ombrières photovoltaïques sur les parkings des bâtiments de la Région, dont bien sûr les lycées d’Occitanie.
Au regard de l’investissement nécessaire et de la technicité de ce projet, la Région a décidé de recourir à une délégation de service public (concession). Ce contrat concerne la conception, le financement, la livraison et l’exploitation d’ombrières photovoltaïques sur 20 à 30 parkings. La production 5,2 GWh attendus représentera la consommation moyenne de 11 lycées.
Une nouvelle étape franchie pour le Lycée de Cournonterral (34)
D’ici 2030, 1 150 élèves supplémentaires sont attendus dans la métropole de Montpellier. La quinzaine d’établissements du secteur étant proches de la saturation, la Région a décidé de construire un nouveau lycée à Cournonterral, à l’ouest de Montpellier.
Le commissaire enquêteur vient de donner un avis favorable à l’ensemble du projet. La Région va donc pouvoir poursuivre les procédures nécessaires à la réalisation du lycée, en particulier la déclaration d’utilité publique du projet.
Celui-ci prévoit la construction d’un bâtiment de 20 000 m² qui accueillera près de 1 500 élèves, des demi-pensionnaires et des internes. Le futur établissement dispensera des formations tant professionnelles, techniques que générales. Il s’agira d’un lycée polyvalent avec une orientation affirmée vers les métiers de l’informatique.
De nouvelles aides pour une seconde chance
La Région fait de l’accès à un premier niveau de qualification une priorité pour chaque jeune et chaque adulte en Occitanie. Le programme des « Écoles de la deuxième chance » (E2C) s’inscrit dans cet objectif. Ce réseau compte 11 établissements en région.
Parmi eux, l’E2C de Rodez (12), qui était jusqu’ici une antenne de l’école de Toulouse, a été confiée au CEMEA. Cette association d’éducation populaire a sollicité un soutien financier. La Région a répondu « présente » en accordant une hausse de subvention afin que la vingtaine de stagiaires, entrés fin 2023, puissent finir leur parcours d’accompagnement.
Par ailleurs, dans le cadre d’un autre programme, baptisé « Nouvelles Chances », la Région vient de conclure une convention avec quatre nouvelles structures : Trisomie 21 Gard (31), l’école de production Icam (34), Cap’A Cité 34 et le Réseau Être. Le projet, porté par les 11 écoles « ETRE », vise à mettre en place une sensibilisation aux métiers de la transition écologique (agriculture, écohabitat, entretien espaces naturels…) qui sont une voie d’insertion d’avenir pour les jeunes.
Grâce au soutien de la Région, trois nouvelles écoles vont pouvoir ouvrir en 2024 dans le Tarn, l’Ariège et le Gers.
Mutualiser les ressources contre le racisme et l’antisémitisme
En 2023, les actes antisémites ont connu une flambée de 1 000% en France. Engagée de longue date contre ce fléau, la Région continue le combat : elle vient de décider de développer une plateforme de partage de contenus éducatifs, entre associations, afin de mieux sensibiliser, éduquer et lutter contre toutes formes de discriminations.
Des quiz, des jeux, des questionnaires, des capsules vidéo (à partir du CM1) et des fiches pédagogiques sont mis à disposition des animateurs, formateurs, enseignants, etc. L’objectif de cet espace de collaboration est de favoriser l’échange et la mise en réseau des intervenants de terrain.
Cette plateforme sera officiellement lancée à l’occasion de la Semaine d’Éducation et d’Actions contre le racisme et l’antisémitisme, du 18 au 24 mars 2024.
Bientôt cinq nouvelles gares multimodales
L’amélioration de la qualité des services et le confort d’attente en gare était une demande forte exprimée par les usagers lors des États Généraux du Rail et de l’Intermodalité, menés par la Région.
Les élus du Conseil Régional viennent ainsi de voter des travaux importants à la gare de Béziers, la 5e gare d’Occitanie en termes de fréquentation, mais qui n’est plus adaptée et mal connectée. Elle sera entièrement reconfigurée, notamment à travers la réalisation d’une passerelle et la mise en accessibilité complète de la gare.
D’autres villes vont bénéficier du financement d’études d’avant-projet : Villeneuve-Lez-Avignon et Aigues-Mortes dans le Gard mais aussi Port-La-Nouvelle et Lézignan-Corbières dans l’Aude.
Actuellement, 69 pôles d’échanges multimodaux – dont trois-quarts en milieu rural - sont en phase d’études ou de travaux dans toute l’Occitanie. La Région apporte jusqu’à 50 % des investissements liés aux projets montés par les collectivités.
Une société publique pour investir dans les transports
Pour financer le matériel roulant ferroviaire nécessaire et apporter une expertise technique dans le suivi et la réalisation des opérations, une structure ad hoc a été créée : la Société Publique Interrégionale des Investissements en faveur des Transports (SPIIT), entièrement constituée par des capitaux publics, la maîtrise et le contrôle restent aux mains de la Région.
Lors de la Commission Permanente, les élus ont voté la concession de service à cette SPIIT. La procédure est donc engagée.
Comme chaque année depuis 2019, 150 lycéens* d’Occitanie se sont rendus à Auschwitz-Birkenau, ce mercredi 27 mars,dans le cadre d’un programme pédagogique dédié au devoir de mémoire et à la citoyenneté. Fruit d’un partenariat entre la Région, les Rectorats de Toulouse et de Montpellier, le Mémorial de Rivesaltes et le Mémorial de la Shoah, ce voyage d’études intervient cette année en lien avec la démarche «Occitanie, terre de résistances» engagée par la Région en février dernier. Les conseiller.es régionaux.ales Guillaume de Almeida Chaves, Philippe Andrieu, Nadia Bakiri, Monique Novaretti et Pascal Mazetaccompagnaient les jeunes lycéens lors de ce déplacement.
Le parcours « Mémoire et Citoyenneté » destiné à accompagner les lycéens dans l’acquisition de repères historiques et le développement de leur sens critique s’inscrit en cohérence avec lePlan Régional de Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme déployé par la Région Occitanie. Ainsi, depuis 2019, plus de 750 jeunes ont pu bénéficier du programme et participer à ce déplacement pédagogique à Auschwitz. Pour la première fois, les élèves proposeront une restitution communede leurs travauxle mercredi 22 mai 2024 au Mémorial de Rivesaltes.
Cette année, l’opération intervient en lien avec la démarche «Occitanie, terre de résistances» engagée par la Région pour faire vivre l’histoire et les valeurs de la résistance à travers toute l’Occitanie. Lancée par la présidente de Région Carole Delga à l’occasion de l’hommage rendu à Missak Manouchian le 19 février dernier, ce programme d’actions proposera en 2024 et 2025 des rendez-vous mémoriels et des temps d’échanges ouverts au public.
«Nos jeunes sont des passeurs de mémoire. C’est le message que nous souhaitons porter à travers la participation de la Région à ce déplacement pédagogique.J’ai eu l’occasion de les y accompagner l’an dernier, j’ai alors pu mesurer à quel point toutes et tous sont revenus marqués, sensibilisés, parce que désormais porteur d’une immense responsabilité, celle de dire, d’expliquer, de rapporter à leurs camarades l’horreur de la Shoah.
Les propos abjects et banalisés sur les réseaux sociaux comme la recrudescence des actes antisémites doivent collectivement nous alerter.Ne rien laisser passer, ne jamais renoncer, ne plus accorderle moindre espace aux discours haineux. Pour cela, j’en suis convaincue, l’éducation restele principal chemin. Parler, échanger, transmettre, encore et toujours. Pour que vive à travers les générations la mémoire de celles et ceux qui ont subi ce qui représente encore aujourd’hui la pire expression de la haine de l’autre»a notamment rappelé la présidente de Région, Carole Delga, en marge de ce déplacement.
«C’était assez lourd, assez pesant, on se rend compte au fil de la visite de ce qui s’est vraiment passé ici. C’est assez difficile à comprendre, à encaisser. Je retiendrai de cette journée que nous avons eu une chance énorme de pouvoir faire ce déplacement et d’avoir été aussi bien entourés et encadrés», rapporte Charline, élève en terminale au lycée Pierre-Paul Riquet à Saint-Orens-de-Gameville (31).
«Ce qui m’a le plus touchée, c’est l’arrivée. J’ai un peu le sentiment qu’Auschwitz n’est pas totalement sanctuarisé. Il n’y a pas vraiment de coupure avec le monde qui l’entoure. L’ambiance également, quand on rentre dans le lieu, m’a marquée. C’était important de venir, j’ai appris beaucoup de choses. C’est toujours important de se rappeler, Auschwitz est un lieu de mémoire », témoigne Marylise, élève en terminale au lycée Alphonse Daudet à Nîmes (30)
* Les lycées représentés cette année: Alphonse Daudet de Nîmes, Jean-Baptiste Dumas d’Alès, Victor Hugo de Lunel, Ernest Ferroul de Lézignan-Corbières, Pierre Paul Riquet de Saint-Orens, Alexis Monteil de Rodez.
Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, Kléber Mesquida, président du Département de l’Hérault, et Michaël Delafosse, président de Montpellier Méditerranée Métropole, réuniront vendredi 29 marsprochain l’ensemble des acteurs concernés pour porter la candidature montpelliéraine aux Services Express Régionaux Métropolitains (SERM) auprès de l’Etat et évoquer les mobilités de demainsur le territoire.
La Région Occitanie, le Département de l’Hérault et Montpellier Méditerranée Métropole, en étroite collaboration avecles intercommunalités du Grand Pic Saint-Loup, de la Vallée de l’Hérault, du Lodévois et Larzac, du Pays de Lunel, du Pays de l’Or, de Sète Agglopôle et du Clermontais,en partenariat avec l’agglomération de Nîmes,les associations d’usagers etla SNCF,se rassembleront pour poser les bases d’un scénario réaliste de service express régional métropolitain (RER). Au cours de cette journée, les trois collectivités formaliseront une déclaration commune de candidature auprès de l’Etat.
Déroulé:
13h15: Conférence de Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, Kléber Mesquida, président du Département de l’Hérault, et Michaël Delafosse, président de Montpellier Méditerranée Métropole, pendant laquelle sera signée la déclaration de candidature au SERM montpelliérain.
Lieu: Hôtel de Région de Montpellieret en visio-conférence. Les liens de connexion seront envoyés ultérieurement.
14h00:Lancement des 1ères Rencontres Mobilités Urbaines et Territoires
Lieu: Amphithéâtre de la Maison des étudiants Aimé Schoenig, Université de Montpellier, rue Vendémiaire
Parmi les temps forts:
Présentation de la loi SERM et des engagements de l’Etatpar Frédéric Poisot, secrétaire général de la Préfecture de l’Hérault, représentantFrançois-Xavier Lauch, préfet de l’Hérault;
Etat des lieux des mobilités urbaines, péri-urbaines et ruralespar Gilles Dansart, journaliste spécialiste des transports et rédacteur en chef de Mobilettre, Jean-Clément Ulles, doctorant en géographie et aménagement de l’espace à l’Université Paul Valéry Montpellier III,Olivier Bouhet, enseignant-chercheur en géographie des transports à l’Université Paul Valéry Montpellier III, etFrédéric Dabi, directeur général de l’IFOP. Ce dernierprésentera un sondage exclusif réalisé pour l’occasion sur les habitudes de mobilités des habitants de l’aire montpelliéraine ;
Table ronde : quelle vision des mobilités dans l’aire d’attraction de Montpellier avecCarole Delga, présidente de la Région Occitanie, Kléber Mesquida, président du Département de l’Hérault, Michaël Delafosse, maire de Montpellier et président de Montpellier Méditerranée Métropole, Christian Perrot, présidentde la fédération nationale des associations d’usagers des transports, Céline Scornavacca, vice-présidente de la fédération des usagers de la bicyclette, ainsi que Catherine Trévet, directrice régionale de SNCF Réseau;
Mercredi 27 mars 2024,à14h30 En bi-site depuis les Hôtels de Région de Montpellier et de Toulouse
A la veille de la prochaine Assemblée plénière de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, prévue le jeudi 28 mars, la présidente Carole Delga dévoilera de nouvelles mesures dédiées aux agriculteurs visant notamment à les accompagner face à la crise agricole. Elle présentera les principaux projets du CPER mobilités 2021-2027 d’un montant de 1,6 md’€ et dévoilera également le nouveau Plan vélo de 100 M€.
La conférence se tiendra à 14h30en bi-site depuis les Hôtels de Région de Montpellier et de Toulouseavec:
Carole Delga, présidente de la Région, et Jean-Louis Cazaubon, vice-président en charge de la Souveraineté Alimentaire, de la Viticulture et de la Montagne à Toulouse;
Jean-Luc Gibelin, vice-président en charge des Mobilités pour tous et infrastructures de transportsà Montpellier;
Vincent Labarthe, vice-président en charge de l’Agriculture et Enseignement agricole en visio-conférence.
Nadia Bakiri, conseillère régionale déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la lutte contre les violences faites aux femmes, représentant la présidente de Région Carole Delga, a assisté, ce mercredi 20 mars à Montpellier et ce jeudi 21 mars à Toulouse, à deux sessions de formation dédiées aux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel pour prévenir et agir contre les violences et le harcèlement surles plateaux de tournage.
Organisées par l’agence régionale Occitanie filmset dispensées par le groupe Egae en partenariat avec la Commission supérieure technique de l’image et du son (CST), ces formations s’adressent aux personnes souhaitant devenir ambassadrices référentes en matière de lutte contre les violences et le harcèlement sexistes et sexuels (VHSS) sur leur environnement de travail.
Déployées en France à l’initiative du CNC etfinancéespar l’Afdas, elles sont mises en œuvreen Occitanie dans les locaux toulousains et montpelliérains d’Occitanie films et se déclinent en trois journées, soit 21 heures au total, avec un effectif maximal de 12 personnes.
Elles présentent 8 objectifs pour les participants et participantes:
Connaître les définitions légales et chiffres clés des VHSS;
Comprendre les conséquences et mécanismes des VHSS;
Connaître les obligations, procédures et sanctions encourues;
Savoir prévenir, détecter et réagir face à des situations de VHSS;
Savoir recevoir et traiter un signalement;
Mettre en place un dialogue social avec sa direction sur les VHSS;
Maîtriser les outils et techniques de l’enquête interne;
Développer un plan de prévention contre les VHSS dans sa structure.
Face au nombre important de demandes reçues, Occitanie films proposera une nouvelle série de formations dès septembre 2024.
«Les dernières affaires qui ont secoué le monde du cinéma l’illustrent tristement: bien que les mentalités commencent à évoluer, les violences sexistes et sexuelles persistent dans toutes les sphères de la société et le combat est loin d’être gagné.Si les déclarations sont importantes, elles doivent être accompagnées par des actions concrètes. C’est là tout l’objet des formations que nous accueillons en Occitanie poursensibiliser les professionnels de l’audiovisuelau harcèlement et aux violences, et leur donner les clés pour agir sur leur lieu de travail. Ces formations sont essentielles pour mettre fin à l’impunité et construire ensemble une société plus juste et plus sûre.» a déclaré la présidente de Région Carole Delga.
Plus d’informations sur les formations contre les VHSS dans les milieux du cinéma et de l’audiovisuel en Occitanie en suivant celien
Des aides régionalesà la filière audiovisuelle conditionnées au respect de la parité et à la lutte contre les VHSS
Dans le cadre de sa stratégie Occitanie pour une culture partout et pour tous (2022-2028), la Région accorde une attention particulière au respect de l’égalité entre les femmes et les hommes et à la lutte contre le harcèlement et les violences dans le milieu culturel.
Des formations et fiches pratiques sur la parité et la lutte contre les violences sont ainsi proposées à tous les professionnels de la culture et du patrimoine, et des critères d’éga-conditionnalité ont été intégrés aux dispositifs de soutien régionauxafin de conduire les professionnels et les employeurs au respect des obligations légales en la matière.
Le dispositif régional d’aide à la création audiovisuelleinvitepar exemple les sociétés de production à inclure dans leur dossier de demanded’aide une réflexion sur la représentation et les trajectoires narratives des personnages féminins. Les sociétés de production doivent également préciser la répartition des postes techniques et artistiques entre les femmes et les hommes, tandis que le règlement rappelle leurs obligations en matière de prévention et de lutte contre les VHSS.
Lieux de rencontres et de découvertes du terroir, les marchés font vivre les places des villages et des villes. Découvrez en images les plus beaux marchés d’Occitanie !
Envie de saveurs ensoleillées ? Les marchés sont le lieu idéal pour goûter aux produits du terroir et pour découvrir les spécialités du coin. Dans les halles ou sur les places des villages, ils permettent aux visiteurs de faire le plein de produits locaux et de qualité, et de s’approvisionner directement auprès des producteurs.
Depuis 2018, le groupe TF1 organise le concours du plus beau marché de France dans une rubrique consacrée au Journal Télévisé de 13 heures. Après une première pré-sélection régionale, les spectateurs sont invités à voter pour élire leur marché préféré parmi les lauréats présentés. Celui qui totalise le plus de voix est alors sacré "plus beau marché de France". Déjà plébiscitées en 2019 à la 5e place, les Halles de Narbonne occupent aujourd’hui la deuxième place du classement. Lors des éditions précédentes, le marché d’Uzès (4e place en 2018) et les halles de Sète (9e place en 2020) ont figuré dans le top 10 du classement.
Sud de France, la marque des produits régionaux
Avec un panier de plus de 12 000 produits, dont près de 7 000 vins, Sud de France propose un panel de produits représentatifs des terroirs d’Occitanie. Fruits et légumes de saison, saveurs de la mer, recettes traditionnelles… font partie de ce paysage gustatif. Ces spécialités régionales sont disponibles dans de nombreux points de vente, des marchés aux enseignes de la grande distribution.
Réunis en commission permanente le vendredi 1ermarsdernier, les élus régionaux ont adopté, sur proposition de la présidente de Région Carole Delga, la poursuite du soutien volontariste de la Région aux filières laine, cuir et textiles d’Occitanie, marqueurs forts de l’artisanat et de l’industrie régionale. La Région souhaite ainsi impulser une nouvelle trajectoire de développement des filières et accompagner les acteurs pour une production responsable et durable.
«Le soutien aux filières locales donne un coup d’accélérateur à l’économie de nos territoires, notamment avec la création d’emplois non-délocalisables.C’est pourquoi nous devons continuer de soutenir et relancer le secteur du textile, qui est un des savoir-faire ancestraux de notre région. L’ambition que nous avonsest de valoriser les matières premières de l’Occitanie,stimuler la création de valeur, favoriser les relations de proximité entre les acteurs, etrenforcer l’économie locale et les relocalisations.C’est tout le sens également de la politique volontariste que nous menons depuis plusieurs années en faveur du ‘consommer local’ et de la défense des savoir-faire régionaux, avec notamment notre signature régionale ‘Fabriqué en Occitanie’,en réponse aux aspirations des consommateurs et des marques de trouver et proposer de plus en plus de produits porteurs de sens, locaux, et traçables.» a déclaré Carole Delga à cette occasion.
Avec notamment des bassins textile et cuir historiques et un tiers du cheptel ovin national, l’Occitanie est une terre d’élection des filières textiles, laine et cuir. Afin de les consolider et les structurer, un contrat de filière régional Textiles, Laine et Cuir a été adopté en 2021 par les élus régionaux, pour une durée de cinq ans. La Région soutient fortement la relocalisation de cette activité stratégique sur son territoire et accompagne les entreprises régionales dans cet effort.Depuis 2017, ce sont plus de 19 M€ qui ont été accordés par la Région directement aux entreprises de ces filières, représentant plus de 3 000 dossiers.
Parmi les entreprises accompagnées:
> En Ariège, la Région soutient l’entreprise Occitanie Geotex à Lavelanet, via un prêt souverain de 1 M€ octroyé en 2023 pour la création d’une usine degéotextiles 100% biosourcés. Le procédé de fabrication innovant devrait permettre d’offrir undébouché aux éleveurs et aux agriculteurs grâce à une utilisation des ressources locales.
> En Lozère, la Région accompagne l’entreprise Tuffery à Florac, avec près de 810000€ d’aides accordées depuis 2016. La Région a notamment soutenu la création de leur manufacture textile de demain, qui a permis à Tuffery de multiplier par 3 ses capacités de production avec des embauches en production, logistique, vente et digital.LaRégion soutient ces entreprises qui jouent un rôle clé localement dans la promotiond'une filière textile plus durable, éthique et socialement responsable, à l’image de Tuffery qui développe notamment une nouvellegamme de vêtements composée de chanvre (cultivé et transformé en Occitanie) et de laine debrebis Lacaune du causse Méjean.
> Dans le Tarn, la Région accompagne l’Atelier de Maroquinerie Sun Belt à Aussillon, sous-traitant dans la maroquinerie de luxe, dans son projet de développement économique, en lui proposant des accompagnements spécifiques pourformer et recruter les personnes dont elle a besoin. Parallèlementau soutien de 450 000 € accordé en 2023 pour son projet de croissance industrielle, l’entreprise a ainsi étéaidée dans son processus de transformation dans le cadre du dispositif « industrie du futur » et aété accompagnée au niveau RH pour former et recruter plus de 20 artisans maroquiniers.
> En Aveyron, la Région a apporté son soutien aux TanneriesPECHDO situées à Millau,pour le recrutement d’un poste de directeur de production.La Région accompagne également l’entreprise ALBIGESsituée à Millau, qui confectionne destissus techniques pour la protection solaire et la piscine, dans un parcoursrégional industrie du futur.
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> Dans les Pyrénées-Orientales, le rachat de l’entreprise « Toiles du Soleil » par le GroupeATHEZZA (Gard) a donné un nouvel élan à l’entreprise, avec l’ambition de constituer un véritablepôle industriel textile pour la décoration, notamment grâce à la mise en place de nouveauxprocess de production. Ces dernières années, l’entreprise a bénéficié de plus de 140 000 € desoutien de la Région pour son projet de croissance et pour l’accompagnement de satransformation technologique.
> Basé dans le Gard et l’Hérault, l’Atelier de la Casquettea été accompagné en 2023 par la Région à hauteur de 75 000 €, pour relocaliser une production initialement réalisée en Pologne. Ce projet permettra à l’entreprise de changer de dimension en multipliant par quatre le nombre d’emplois (passage de 5 à 20 salariés).
> Dans le Tarn-et-Garonne, la Région a apporté en 2023 un soutien de près de 230 000€ à Virgocoop,pour créer une usine de défibrage de paille dechanvre. Les produits obtenus seront valorisés en fil de chanvre, destinés à des entrepriseslocales de tissage et de confection, tandis que les coproduits seront utilisés pour l’isolation dansla filière du bâtiment.
L’industrie textile en Occitanie:
- 200 entreprises de production représentant près de 3 200 emplois (l’Occitanie est une des
5 régions majeures).
- Un chiffre d’affaires de 550M€, dont 40% sur les textiles techniques, 35% à l’export.
- Quelques bassins régionaux historiques :l’axe Castres – Mazamet - Labastide Rouairoux dans le Tarn ;Lavelanet dans l’Ariège pour l’industrie lainière ;Ganges, Le Vigan pour l’industrie textile de la soie ; le bassin de Graulhet et le millavois pour le travail du cuir.
- La région Occitanie est également l’un des fiefs de la culture du lin, du chanvre textileainsi que du pastel pour la coloration des étoffes.
Adopté en décembre 2022, le plan Parlem una cultura viva / Parlons une culture vivante donne un nouvel élan à la valorisation et à la promotion de l’occitan et du catalan. De nombreuses actions sont déjà en œuvre sur tout le territoire. Retour sur une première année de mobilisation.
En Occitanie, les habitants sont très attachés aux langues régionales [1], considérées comme les socles de l’identité régionale. À travers le plan Parlem una cultura viva / Parlons une culture vivante, fruit d’une large concertation citoyenne qui a mobilisé près de 4 000 participants, la Région s’est engagée en décembre 2022 à augmenter le nombre de locuteurs, et à faire rayonner l’occitan et le catalan sur tout le territoire.
Avec un budget de 4,4 M€, « l’Occitanie est parmi les régions les plus volontaristes sur la valorisation des langues », se réjouit Benjamin Assié, conseiller régional délégué aux politiques linguistiques.
Parmi les engagements du plan Cultura Viva, l’augmentation du nombre de classes bilingues dans les établissements scolaires. L’année 2023 a été marquée par une meilleure information des jeunes sur les débouchés et les métiers en lien avec les langues régionales (création d’une rubrique dédiée sur loRdi des lycéens, présence des offices de promotion des langues régionales [2] aux salons ID Métiers…), mais également une sensibilisation des élus locaux pour lever les blocages à l’ouverture de cursus bilingues.
Les retours sont positifs : sept sections ont été créées en 2023, et de nouvelles ouvertures sont prévues en 2024 et 2025. Une cinquantaine de projets d’éducation artistique et culturelle en occitan et en catalan ont également touché près de 1 800 élèves, de la maternelle au lycée.
En parallèle, l’Occitanie aide les étudiants et les enseignants à se former pour répondre à la demande d’ouverture des classes bilingues et des calandretas [3] grâce à l’attribution de bourses d’études Ensenhar.
Pour cette première année du plan Cultura Viva, les espaces publics ont vu apparaître de nouvelles signalétiques : affichage français/occitan au sein de la Maison de Ma Région et la Gare de Figeac (Lot), et expérimentation des annonces sonores trilingues à bord des trains, en partenariat avec la SNCF [4] (lignes Port-Bou/Salses-le-Château et Toulouse/Auch). L’année 2024 se poursuivra sur la même lancée, avec le déploiement d’une signalétique bilingue au sein de lycées d’Occitanie, et dans les nouvelles gares avec la SNCF.
La Région a renouvelé par ailleurs son appui aux actions qui font rayonner la diversité culturelle et linguistique auprès du public, à l’image de Total Festum, le festival des langues et cultures régionales. Le concours des jeunes talents d’Occitanie, le Prix Nougaro, a également évolué en 2023 pour s’ouvrir aux langues régionales. Autre nouveauté impulsée par le plan Cultura Viva, un catalogue recense désormais les spectacles en occitan et catalan.
À noter que les Parcs naturels régionaux ont engagé une réflexion commune sur la valorisation des langues régionales, pour leur donner plus de visibilité.
À la rencontre des langues régionales en mars
Du 18 au 23 mars, les Maisons de Ma Région font vivre les langues régionales ! Au programme de cette première semaine des langues occitane et catalane : des animations, des lectures et des chants, des expositions…
Œuvrer à la sécurité des habitants est un des engagements de la Région. Avec la signature d’une convention avec la Gendarmerie nationale, l’Occitanie amplifie le travail lancé en 2016.
La Région Occitanie a signé en janvier dernier une convention avec la Gendarmerie nationale. Objectifs : sécuriser les lieux accueillant du public et prévenir les actes d’incivilité et de violence. Trois axes prioritaires sont ainsi identifiés : la sécurisation des abords des lycées et des gares, la lutte contre les violences faites aux femmes et la cybersécurité.
Et la sécurisation des lycées est une belle réussite pour la Région. 63 millions d’euros sont investis en ce sens depuis 2016, dans les 225 lycées publics dont elle a la responsabilité. Clôture périphériques, tourniquets de contrôle, systèmes de vidéo protection… « À ce jour, 90 % des lycées sont entièrement sécurisés contre 20 % en 2016 », précise Carole Delga. Parmi eux, le lycée agricole à Figeac (46), équipé de clôtures périphériques et d’un système d’alerte, ou encore l’installation de tourniquets et l’aménagement d’un nouveau parvis au lycée Champollion à Lattes (34).
Pour protéger ses usagers, la Région met également en place un observatoire régional des violences dans les lycées. Instance de travail dédiée, elle associera les Rectorats et la Direction Régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (Draaf). Son rôle : identifier le niveau de sécurisation des établissements pour adapter la politique régionale.
Une sécurité accrue des transports
La sécurité des transports est également un enjeu majeur pour la Région. 4,3 millions d’euros sont ainsi investis depuis 2016 dans les trains régionaux liO. « 76 % du parc ferroviaire régional est couvert par la vidéoprotection, contre 42 % fin 2015. D’ici 2030, nous prévoyons une couverture totale du réseau », indique la présidente. Du côté des cars liO, 649 véhicules sont équipés en vidéoprotection soit plus de la moitié du parc d’autocars régionaux. Des actions renforcées par une présence humaine dans les gares et les transports.
Un soutien aux collectivités
Quatrième région de France avec 6 millions d’habitants, la Région doit adapter ses moyens en matière de sécurité dans les territoires pour faire face aux nouveaux usages et aux besoins de nouveaux services. À cette fin, la Région a investi 1,5 million d’euros pour accompagner 90 communes dans le cadre de deux Appels à Manifestation d’Intérêt (AMI) adressés à toutes les villes d’Occitanie en 2022 et 2023 (aménagement ou sécurisation des locaux de police municipale, acquisition de véhicules adaptés au territoire, achat d’équipements de protection des personnels, etc.).
Baptisé «Vos solutions pour la vie étudiante», et doté d’une enveloppe globale de 500000€, ce nouveau budget participatifest destiné à faire émerger et soutenir des projets concourant à l’amélioration de la vie de la communauté étudiante d’Occitanie. Cette nouvelle étape dans la démarche globale de participation citoyenne engagée par la Région débute par la phase de dépôt des projets, ouverte jusqu’au 15 mai prochain.
« La Région agit concrètement pour donner la parole aux jeunes de toute l’Occitanie, pour leur permettre de participer aux décisions et projets ayant un impact direct sur leur quotidien. Après la grande concertation Jeunesses et l’installation du nouveau Conseil régional des jeunes, le lancement d’un budget participatif dédié aux étudiants, pensé avec eux, affirme notre volonté de les associer pleinement à la dynamique de faire et vivre ensemble impulsée en Occitanie. Nos jeunes ont des idées, des solutions, des talents. Il est de notre responsabilité de les écouter, de connaître et prendre en compte leurs réalités, et de les accompagner. », a déclaré la présidente de Région Carole Delga.
Ce budget participatif a été conçu de manière collaborative, en associant les étudiants dès la rédaction du règlement. Ils ont notamment pu proposer et choisir les thématiquesdans lesquelles devront s’inscrire les projets déposés:
-Accès aux droits et services offerts aux étudiants
-Santé dont santé mentale et bien-être
-Lutte contre l’isolement étudiant et la précarité
-Accompagnement social, solidarité locale
-Lutte contre les violences sexistes et sexuelles
-Vie de campus
-Engagement étudiant
-Sport, art et culture
-Citoyenneté
-Développement durable et environnement
Ce budget participatif est ouvert à toutes les associations étudiantes(existantes ou à créer) du territoire. Ledépôt des projetsest ouvert jusqu’au 15 mai2024sur le site participatif laregioncitoyenne.fr.Toutes les informations (règlement, calendrier, etc.) sont à retrouver en ligne et des webinaires seront également organisés pour accompagner les participants.
Les projets déposés, et respectant les critères du règlement, seront ensuite soumis à un vote citoyen, entre le 15 septembre et le 15 octobre prochains. 500000€ seront mobilisés par la Région pour accompagner les initiatives qui recueilleront le plus de votes.
Depuis leur mise en place en 2019, les budgets participatifs ont permis d’accompagner plus de 300 projets sur l’ensemble du territoire régional, financés par la Région pourplus de 10 M€.