Accédez à la billetterie en ligne
PHOTOGRAPHIES : Sète Archipel de Thau Destination Méditerranée
PHOTOGRAPHIES : Sète Archipel de Thau Destination Méditerranée
Pour Jésus Valtierra la vie est une succession d’expériences plus ou moins dingues ! Aussi depuis plusieurs années il est un des musiciens et un des chanteurs dans le groupe poussannais des Grandes Maïsses.
Mais l’été dernier il a souhaité se lancer aussi en solo, accompagné par des bandes « sonores ». Après avoir longtemps travaillé, répété, retenu un très long répertoire avec des chansons des années 60 jusqu’à celles de nos jours, il a décidé de se lancer et de monter sur scène, en l’occurrence celle de la salle de spectacle de Poussan, à la MJC, pour présenter à toutes ses connaissances et à ceux qui le souhaitaient, un répertoire de chansons, très éclectique.
vidéo : https://youtu.be/nrOMrbgcaBY
Ce 10 mars, vers 17 h, c’était pour lui « la Première ».
De Piaf, à Florent Pagny, de Balavoine à Johnny, de Cabrel à Aznavour, en passant par Joe Dassin, Barbara, Lama… Parmi beaucoup d’autres, Jésus nous a montré qu’il maîtrisait son sujet ayant acquis grâce à un travail assidu des compétences qui lui permettront d’aller au-delà de ce premier récital en solo.
Une bien belle soirée musicale devant un public bien nombreux qui a apprécié ce beau et long concert.
Photographies : Gilbert Raulet
Le Morgenster est bien entré dans le port pour cette spectaculaire et inédite escale à Frontignan!
p>
Après 17 albums et une prestigieuse nomination aux Grammy Awards à Los Angeles, Ibrahim Maalouf revient en grand avec un projet musical innovant : Ibrahim Maalouf and the Trumpets of Michel Ange.
Tant sur la philosophie que sur l'histoire, T.O.M.A, acronyme de Trumpets of Michel Ange, est une grande aventure musicale qui nous transporte vers un monde où le folklore et la modernité ne font qu'un.
Comme à son habitude, Ibrahim tente le pari d'une musique exigeante mais accessible au grand public.
« T.O.M.A », c’est d’abord un album métissé, véritable mélange d’influences où l'orient festif et nostalgique s'exprime avec une liberté rare.
« T.O.M.A », c’est ensuite le nom d’une marque de trompettes créée par Ibrahim en collaboration avec des fabricants français. C’est cet instrument unique au monde inventé il y a plus d'un demi-siècle par son père, que Ibrahim joue sur scène, et sur lequel il forme désormais la nouvelle génération de trompettistes.
« T.O.M.A », enfin, c’est une grande fête qui réunit toutes les générations, des amateurs comme des professionnels, et des invités !
Avec T.O.M.A, Ibrahim pose la première pierre d'un ambitieux projet de vie mêlant lutherie, exception culturelle française, pédagogie, album, scène et qui a avant tout pour but de nous rassembler autour de valeurs communes.Jeudi 11 juillet 2024
à partir de 21:00
Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, est le dernier des grands voiliers de commerce français du 19ème siècle encore navigant. Une aventure maritime qui dure depuis plus de 120 ans en ayant vécu pas moins de cinq vies, changé trois fois de nationalité pour finir par retrouver le pavillon tricolore de ses origines, trompant la mort, survivant là où des milliers d’autres voiliers, plus grands, plus puissants, plus neufs, ont disparu à jamais… Le Belem est protégé par sa bonne étoile. Découvrez son incroyable histoire.
Pour le visiter lors d'Escale à Sète :
Un peu d’histoire :
10 juin 1896
Construit dans les chantiers Dubigeon à Chantenay-sur-Loire, il est mis à l’eau en 1896 à Nantes par l’armement Denis Crouan Fils, après 6 mois de construction. Destiné au transport de marchandises, il doit son nom “Belem” au nom de son comptoir de commerce situé au Brésil.
Jusqu’en 1914
Jusqu’en 1914, il sillonne l’Atlantique pour le compte de 3 armateurs successifs. Il transporte notamment des fèves de cacao d’Amazone pour le célèbre chocolatier Menier, puis par la suite, du rhum et de la canne à sucre.
1914
À l’orée de la Première Guerre mondiale qui cause la destruction de nombreux voiliers de commerce, sa carrière commerciale est interrompue, concurrencée par les “vapeurs” plus rapides. Il est alors acheté par le duc de Westminster qui l’équipe de moteurs et le transforme en yacht de luxe.
1921
En 1921, le Belem devient le “Fantôme” II après avoir été racheté par Sir Arthur Ernest Guinness, vice-président des brasseries et grand amateur de navigation.
1923 - 1924
De 1923 à 1924, Arthur Ernest Guinness fait le tour du monde en famille à bord de son “Happy Yacht”, réempruntant le canal de Panama et celui de Suez. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le navire est désarmé à l’île de Wight où il demeure durant tout le conflit.
1951
Vittorio Cini, puissant capitaine d’industrie italien, rachète aux héritiers d’Arthur Ernest Guinness, l’élégant trois mâts nommé Fantôme II. Il destine le bateau à la Fondation Giorgio Cini qu’il vient de créer au début de cette même année 1951 en mémoire de son fils Giorgio, mort dans un accident d’avion en août 1949.
La Fondation Giorgio Cini a pour vocation initiale la restauration de l’Ile San Giorgio Maggiore (et de son ancien couvent bénédictin) dégradée par 150 ans d’occupation militaire et sa transformation en centre culturel de renommée internationale. Mais sur l’île, Vittorio Cini installe également des centres d’enseignement professionnel, notamment le Centro Marinaro, destiné à former aux métiers de la marine marchande (mécanique, opérateur radio…). Il achète le trois-mâts pour offrir aux élèves du Centro Marinaro et de l'Istituto Scilla un navire-école dédié à leur apprentissage. Il le rebaptise alors “Giorgio Cini”, du nom de la Fondation éponyme.
1967 - 1978
Le Giorgio Cini effectue sa dernière croisière au cours de l’été 1967. Trop vétuste pour répondre aux impératifs de la formation navale moderne, il est remisé à quai sur l'île San Giorgio Maggiore durant cinq ans. En 1972, les carabinieri, qui aspirent à disposer d’un navire-école de prestige, proposent de financer les travaux pour sa remise à neuf. Ils confient le navire aux Cantieri Navali ed Officine Mecchaniche di Venezia (CNOMV), qui réalisent alors, dans l’arsenal, d'importants travaux de restauration et redonnent au Giorgio Cini son gréement d’origine, celui d’un trois-mâts barque. Mais les travaux de restauration coûtent cher. En dédommagement financier, c’est finalement le navire lui-même qui est cédé aux chantiers navals en 1976, lesquels se voient contraints de le mettre alors en vente pour se rembourser des frais engagés.
1978
Fin 1978, plusieurs candidats étrangers sont en lice pour acquérir le Giorgio Cini, et parmi eux des Français. Car l’origine nantaise du trois-mâts a été découverte dès 1970 par un passionné de vieux gréement, le docteur Luc-Olivier Gosse, qui apprenant sa mise en vente, a réussi à attirer l‘attention de ses compatriotes. Malgré une forte mobilisation à Venise, le Giorgio Cini est finalement cédé en janvier 1979 à de nouveaux mécènes, les Caisses d’Epargne françaises, qui ont réussi à réunir les fonds nécessaires à son acquisition. Le 15 août 1979, les Vénitiens pleurent le départ de leur trois-mâts.
1979
La Caisse d’Epargne rachète le Giorgio Cini qui retrouve son nom d’origine en hommage à son passé prestigieux. Elle le ramène en France grâce au concours de la Marine nationale.
1980
La Caisse d’Epargne crée la Fondation Belem, qui sera reconnue d’utilité publique. Elle lui fait don du navire et en devient le mécène historique. Il est décidé que le Belem sera exploité comme navire école civil. Les travaux nécessaires pour refaire naviguer le Belem sont confiés à Jean Randier, ancien officier de la marine marchande.
1984
Le Belem est classé Monument Historique.
1987
Après cinq années de restauration, le Belem est transformé en navire-école civil ouvert à tous.
2002
La Fondation Belem organise un voyage mémorial sur les routes des premières navigations transatlantiques du navire. Près d’un siècle après y avoir chargé des marchandises pour la dernière fois, le Belem entre à nouveau dans le port de Belém do Parà, au Brésil.
2023
Le Belem est choisi pour transporter la Flamme Olympique des Jeux de Paris 2024 entre Athènes et Marseille (8 mai 2024).
Si vous souhaitez en savoir davantage sur l’histoire du Belem, nous vous invitons à consulter le site web de la Fondation Belem (français).
Quelques éléments clés :
- Gréement : Trois-mâts
- Date de construction : 1896
- Longueur hors-tout : 58 m
- Pavillon : France
- Port d’attache : Nantes (France)
Définition :
Un trois-mâts est un terme générique pour désigner un navire à voiles comportant trois mâts verticaux : mâts de misaine (avant), grand-mât et mât d’artimon (arrière).
Jeudi 7 mars, Frontignan la Peyrade accueillera le Morgenster (« Étoile du matin ») sur son port de plaisance. Autour de ce navire traditionnel d’exception, le plus vieux jamais accueilli au port, sont prévues des visites et sorties en mer, ainsi que des manifestations à terre ou sur l’eau organisées par les différentes associations locales nautiques.
L’ancien bateau de pêche hollandais, initialement lougre de hareng à trois-mâts, a connu une longue carrière en mer du Nord depuis sa mise à l’eau initiale en 1919. Allongé de 7 mètres en 1927, son gréement est remplacé par un moteur. Rebaptisé Morgenster en 1959, il reste encore en service comme navire de pêche jusqu’en 1970.
Racheté en 1993 par Harry Muter, il est magnifiquement restauré au fil des années en brick (deux-mâts), coque et pont acier, et rejoint la course des grands voiliers en 2008. Il profite depuis d’une seconde vie comme bateau-école pour se confronter à la navigation traditionnelle ou de croisière active grâce à ses qualités sportives. Il sert également de lieu de fête, réunion ou autres manifestations. Ce voilier de 48 m peut embarquer jusqu’à 36 passagers en croisière (8 cabines) et 90 personnes à la journée.
Jusqu’à la levée de son encre, le 18, il sera ouvert aux visites toutes les après-midis, de 14h à 17h, ainsi que le mercredi 13 mars de 9h à 12h (tarif 5 €, gratuit pour les moins de 5 ans), le public pourra même embarquer pour une sortie en mer les samedis matins de 9h à 12h (tarif 30 € adulte, 15 € pour les moins de 12 ans, gratuit pour les moins de 5 ans).
Les associations se relaieront ensuite pour animer les week-ends. Les samedis, les Gréements languedociens proposeront parades, démonstrations, matelotage et chants marins avec le soir restauration et buvette, en parallèle à une initiation gratuite aux danses traditionnelles régionales offerte par Le Temps jadis. Elle sera suivie par un balèti, animé par le groupe Biscam Pas (samedi 9). Le samedi suivant, ce sera le groupe Cantafougassa qui se chargera d’ambiancer la soirée.
Chacun pourra également profiter des animations et buvette des associations Pêche Sportive Frontignanaise ou embarquer à bord de la barque « la Marion » pour découvrir les richesses de l’étang d’Ingril avec les Pêcheurs plaisanciers du port des pauvres (les samedis et dimanche après-midi). Une projection-conférence autour des naufrages les plus célèbres de Frontignan sera donnée par l’archéologue Laurence Serra avec la Section de recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines de Frontignan (SRASSMF), le samedi 9. Le dimanche 10, c’est la Société des jouteurs qui animera la journée avec des joutes sur chariots et remise de prix, tandis que le dimanche suivant, Muscat Rames lancera un défi rames avec également une remise de prix. Le samedi 16, le Frontignan Thon Club proposera une expérience de simulateur de pêche.
Le voilier restera amarré jusqu’au lundi 18 mars avant de repartir sous la même ambiance festive et musicale qui aura salué son arrivée pour prendre la direction de la 8e édition d’Escale à Sète (26 mars au 1er avril).
Réservations, tarifs, horaires et programme détaillé sur la brochure à télécharger sur le site frontignan.fr, ou en consultation dans les bâtiments communaux.
Le concours rassemble cette année 19 écoles et associations de danse et environ 375 danseurs venus de l'Hérault mais aussi parfois de plus loin (Marseille).
Au programme cette année encore, du jazz, du classique, du hip hop et autre style, et bien sûr toujours la catégorie "création élève" qui permet aux danseurs dès 6 ans mais aussi adultes de présenter leur propre création chorégraphique.