Après 4 réunions publiques d’information sur le territoire de Thau :
LGV / LE PROJET
A POUSSAN, PUIS GIGEAN, LOUPIAN ET PINET
Après un rassemblement sur le parvis de la gare de Sète dernièrement
A 19 h ce VENDREDI 21 janvier 2021, avait lieu une réunion publique à la salle Tarbouriech du Théâtre de la Mer de Sète
Pourquoi ?
En effet, dans la continuité des actions menées depuis 2012 afin de préserver notre territoire du tracé actuel de la nouvelle ligne LGV ; devant non seulement l’avancée soudaine de ce projet, véritable cicatrice environnementale irrémédiable avec danger pour l’étang de Thau et son économie, mais aussi devant l’impact sur la vie quotidienne des citoyens de Thau, leur manque d’informations et l’inertie de nos représentants de tous bords l’Observatoire du Pays de Thau a d'abord pris les choses en main et c'est maintenant une association dédiée, ALT - Alerte LGV Thau qui se mobilise pour informer la population et permettre aux citoyens de faire entendre leurs voix !
Page Facebook : https://www.facebook.com/AlerteLgvThau/?ref=page_internal
Le Président en est Félix Caron qui animait cette réunion.
Vidéo de présentation du projet devant près de 90 personnes:
Pour avoir des détails sur le projet : http://thau-infos.fr/index.php/commune/loupian/119190-ttttaaaaaaaune-seconde-reunion-publique-d-information-sur-le-territoire-de-thau-au-sujet-du-projet-lgv
A noter la présence de Jean-Guy Majourel, Vice-Président de Sète Agglopôle.
Vidéo de cette intervention :
Et la présence de Jean-François Eliaou, Député de la 4ème circonscription de l'Hérault
Vidéo d'une partie de son intervention en téléchargement
A noter que comme à Loupian, Pierre Maigre, Président de la LPO Occitanie a précisé que la LPO qui avait participé à l'étude d'impact du projet s'opposait au tracé actuel de la LGV, et que c'était une crise de la démocratie, et de la confiance si l'on ne respectait pas son avis. Elle demande donc le retrait de ce tracé qui impacterait 15 zones Natura 2000 et la mise en attente du projet afin d'effectuer des études complémentaires.
Sinon, l'association est prête à saisir la Cour Européenne de justice et la Commission européenne ,et ira si nécessaire devant le Conseil d'Etat.