Décembre 2029. Faute d’avoir su réagir à temps face à l’urgence climatique, l’humanité se retrouve dans une impasse.
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Littérature - Poésie
La romancière belge a remporté pour la première fois, mercredi 3 novembre, le prix Renaudot avec son trente-deuxième roman, Premier sang (Albin Michel). Face à elle, trois rivaux étaient en lice : Anne Berest avec La Carte postale (Grasset), Nicolas Chemla avec Murnau des ténèbres (Cherche-Midi) et Abel Quentin avec Le Voyant d'Etampes (Les éditions de l'Observatoire).
L'autrice de best-sellers a été élue au 2e tour, avec 6 voix. Le Renaudot de l'essai a été décerné à Dans ma rue y avait trois boutiques (Presses de la Cité) d'Anthony Palou, a précisé Franz-Olivier Giesbert, un des jurés du Renaudot.
Faire le deuil
Dans son nouveau roman, l'autrice donne la parole à son père, l'ambassadeur Patrick Nothomb, à travers un récit à la première personne...........
aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/prix-litteraires/amelie-nothomb-remporte-le-prix-renaudot-avec-premier-sang_4831421.html.
HÉRAULT DE GUERRE 39/45
Un département au cœur du conflit et
Paroles de témoins
La dynamique et talentueuse maison d’édition installée à Villeveyrac, Le Papillon Rouge, vient de sortir deux volumineux opus sur la période de 39/45. Le premier «Un département au cœur du conflit» présente un certain nombre d’archives inédites et précieuses sur cette période.
Les historiens Ghislaine Bouchet, Emmanuel Lion, Elisabeth Perrier, Fanny Reboul, Julien Duvaux, Philippe Secondy et Anne Parmentier ont collecté de nombreuses archives pour retracer l’histoire de la période 39/45 dans notre département. De «l’étrange défaite», ainsi nommée par la publication en 1946 du témoignage de Marc Bloch à la libération, le département de l’Hérault traversa une période bien sombre, même si les événements y furent moins dramatiques, dans l’ensemble, que dans d’autres régions.
D’abord terre d’accueil pour de nombreux réfugiés, 132000 au total, le département s’organise pour recevoir ce surplus de population. Mais le département est à son tour sous le joug allemand dès novembre 42.
Viennent alors les pénuries alimentaires, les difficultés de transports, les privatisations de liberté. Illustré par une iconographie passionnante, parfois surprenante, l’ouvrage raconte chronologiquement l’évolution de la situation.
L’histoire subit régulièrement, et particulièrement en cette période actuelle, les assauts de certains faussaires, falsificateurs et parfois négationnistes. Mais les faits sont têtus et les archives rendent comptes avec exactitudes des résistances, souvent héroïques, des collaborations, parfois exercées avec zèle et cruauté, de la solidarité mais aussi des stratégie de survie et de débrouillardise. Entre 40 et 42, la mortalité a augmenté dans le département de 29%, toute une génération a eu à souffrir de ce conflit et les plaies ont été parfois longues à cicatriser.
Cet ouvrage indispensable pour la connaissance de cette période s’accompagne d’un autre opus tout aussi volumineux et passionnant, «Paroles de témoins» qui recueille les paroles d’une centaine de personnalités qui se sont distinguées durant cette période en s’opposant courageusement à l’occupant et à leurs complices.
Les historiens Mathilde Bragioli, Christophe Cordier, Julien Duvaux, Anne Parmentier, Carole Renard et Philippe Secondy leur rendent un vibrant hommage en les présentant dans leur contexte familial et social, leur itinéraire, leur parcours, leurs actions.
Dans une mise en page particulièrement élégante, abondamment et parfaitement illustré, dans une écriture claire et efficace, ces deux livres présentent un intérêt tout particulier pour la connaissance de cette période et de notre département.
Le Papillon Rouge Éditeur 27 rue du général de Gaulle 34560 Villeveyrac
Michel Puech
Ce 30 septembre 2021 à 18h à la Médiathèque F. Mitterand à Sète, Tino Di Martino recevait à son Café Littéraire
Jocelyne Fonlupt-Kilic-Bernard Lonjon-Bernard Wagnon , pour le recueil "Lexique amoureux de Sète" publié aux éditions Cairn
Ce livre est une déclaration d'amour à l'île singulière chérie par les trois auteurs qui, s'ils n'en sont pas originaires, sont tombés sous le charme et ont choisi d'y vivre. De Paul Valéry à Georges Brassens, du Mont Saint-Clair aux plages du Lido, de la tielle, de la macaronade,des goélands aux bateaux de pêche, etc...
Cette ville-port baignée par le soleil, ancrée dans le golfe du lion et dans l'Occitanie, et qui rayonne sur la Méditerranée.
LA SALLE DE LA MEDIATHEQUE N'ETAIT PAS ASSEZ GRANDE POUR ACCUEILLIR UN AUDITOIRE VENU NOMBREUX.
Véritable ode à la découverte de ses attraits, ce manifeste poétique, gustatif, visuel espère entraîner le lecteur sur des sentiers de traverse. Comme le ferait une balade en compagnie de trois amis entre étang de Thau et mer Méditerranée avec pour mots d’ordre : subjectivité, diversité et sensibilité.
De Paul Valéry à Georges Brassens, du mont Saint-Clair aux plages du Lido, de la tielle à la macaronade, des goélands aux bateaux de pêche, des anarchistes sétois à la Venise du Languedoc, de Manitas de Plata à Agnès Varda… voici une invitation gourmande à suivre les traces humaines, sociales, historiques et culturelles de cette ville-port baignée par le soleil, ancrée dans le golfe du Lion et dans l’Occitanie. Qui rayonne sur la Méditerranée.
LES AUTEURS
Jocelyne Fonlupt-Kilic, lyonnaise de naissance, a récemment quitté Paris pour « l’île singulière » Sète. Membre de la Société des Gens de Lettres, journaliste retraitée et auteure
de plusieurs ouvrages aux éditions Wartberg, elle partage son temps entre l’écriture, la photo et les voyages.
Bernard Lonjon, membre entre autres de la Société des Gens de Lettres, a publié un grand nombre d’ouvrages de tous genres : biographies, nouvelles, essais, etc. Il est notamment l’auteur, avec Bernard Wagnon, de Georges Brassens pas à pas – Petit guide (très orienté) de Sète.
Bernard Wagnon, installé à Sète depuis maintenant quelques années, spécialiste de San Antonio, est un ancien maître de conférences à l’Institut national polytechnique de Grenoble. Il partage avec Bernard Lonjon sa passion pour Georges Brassens.
Éditions CAIRN
broché 12.7 x 21 cm – 268 pages – 20 € ISBN 9782350689340 – avril 2021
Décembre 2029. Faute d’avoir su réagir à temps face à l’urgence climatique, l’humanité se retrouve dans une impasse.
Jean-Claude Carrière, écrivain prolifique et scénariste de génie aux côtés de Luis Bunuel, Jacques Deray ou plus récemment Philippe Garrel, se définissait comme un "conteur", "plus attiré par son différent que par son semblable".
Apprécié autant par la critique que par le public, il était un véritable "athlète" de l'écriture, à la croisée des chemins entre cinéma, théâtre et littérature.
Au total, il a signé une soixantaine de scénarios ainsi qu'environ 80 ouvrages........................
Et pour découvrir son oeuvre et sa vie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Carri%C3%A8re
Ce vendredi 24 septembre, c''est une journée du Festival Les Automn'Halles qui se décline entre Rencontres scolaires (réservées aux lycéens), atelier d'écriture à Balaruc, Nouvelle Librairie Sétoise, pour se terminer en paroles puis en musique au Kiosque Franke.
À 14 heures, dans le cadre du Festival les Automn’Halles, ce seront les Rencontres en milieu scolaire (réservées aux lycéens).
Au lycée Paul-Valéry, dans la classe de Yolande Fernandez avec Aro Sainz de la Maza pour « Docile » (Actes Sud).
Au lycée Joliot-Curie, dans la classe de Corinne Campagnac avec Dalie Farah pour « Impasse Verlaine » (Grasset).
Des rencontres organisées de main de maître par Dany Gourdellier.
Vous écrivez déjà, vous aimeriez écrire, dans le cadre du Festival les Automn’Halles, Valérie Pascaud directrice de la médiathèque de Balaruc (Résidence Sévigné Thermal, 34540 Balaruc-les-Bains) organise un atelier d’écriture avec l’auteur de romans policiers Catherine Fradier ce vendredi 24 septembre de 14 heures à 16 heures (inscriptions obligatoires au 04 67 43 23 45). Catherine Fradier a reçu le grand prix de littérature policière 2006 pour « La colère des enfants déchus », le prix SNCF du polar 2007 pour « Camino 999 », ainsi que le prix Michel-Lebrun2010 pour « Cristal Défense ». Autant dire que vous serez entre de bonnes mains !
Dans le cadre du Festival Les Automn’Halles, Sophie Garayoa de La Nouvelle Librairie Sétoise (7, rue Alsace-Lorraine, 34200 Sète) reçoit ce vendredi 24 septembre, à 16 h 30, l’autrice Kapka Kassabova pour « L’Écho du lac » (éditions Machialy).
« Dans notre lignée de femmes, je représente la quatrième génération à émigrer. » C’est pour rompre cette spirale de l’exil que Kassabova se rend aux sources de son histoire maternelle, les lacs d’Ohrid et Prespa, les deux plus anciens lacs d’Europe. Elle parcourt leurs rives, grimpe les montagnes alentour, se baigne dans leurs eaux et, au gré de ses rencontres – gardien d’église troglodyte, guide ou pêcheur –, collecte les histoires agitées de cette région des Balkans située à cheval entre la Macédoine du Nord, l’Albanie et la Grèce. Tous ses habitants sont issus de familles qui ont été à un moment donné dispersées, que ce soit à cause de la chute de l’Empire ottoman, des guerres ou des régimes autoritaires. Tous ont hérité d’une façon ou d’une autre de l’histoire de leurs ancêtres. » (Source éditeur)
À l’initiative de Catherine Schön, professeur documentaliste, et dans le cadre du Festival Les Automn’Halles, des élèves de 4e du collège Paul-Valéry participent à la Belle Harangue au Kiosque Franke (place Aristide-Briand, 34200 Sète) à 17 h 45 ce vendredi 24 septembre. Sur le thème « Et si… ? »
Cette toute nouvelle Fête de l’écriture et de la parole est un projet en direction de la jeunesse de la Fondation pour l’écriture qui mêle écriture et plaisir de dire à voix haute.
La journée du Festival Les Automn’Halles de ce vendredi 24 septembre se terminera par un concert du Trio de Nicolas Grosso qui sera accompagné par Stephan Notari, batteur et Gildas Le Garrec à la contrebasse. Ça se passe au Kiosque Franke (place Aristide-Briand, 34200 Sète) et ça commence à 18 h 30.
Après une inauguration réussie et une lecture passionnante d'une partie de la correspondance de Flaubert par le comédien Yves Ferry, suite du Festival Les Automn'Halles (34200 Sète), ce jeudi 23 septembre : au programme Alexis Jenni (18 heures au musée-Galerie d'Art Le Réservoir), puis un hommage à Jean-Claude Carrière (21 heures au cinéma Le Comœdia, tarifs cinéma).
Jocelyne Fonlupt nous précise : "Après l'intervention de Laurent Cachard, président des Automn'Halles, suivie du mot de Marie Testa, la directrice de la médiathèque François-Mitterrand, qui accueille en grande partie le festival samedi et dimanche, et l'inauguration officielle du festival par François Commeihnes, maire de Sète, un apéritif dans les jardins du musée a réuni les spectateurs.
Yves Izard : Yasmina Khadra, avec Le sel de tous les oublis, vous nous entraînez dans la descente en enfer d'un homme que sa femme vient de quitter brutalement. On entre comme d'habitude dans la tête d'un homme qui frôle la folie.
Mais cette fois, vous vous interrogez sur la place que les femmes occupent dans une société en pleine mutation?
Yasmina Khadra : Il n'y a pas que la place de la femme en Algérie qui exige une attention soutenue. Nous enregistrons un grand retard littéraire à tous les niveaux. L'Algérie n'a pas livré toute la part de ses zones d'ombre et de lumière. Son histoire, pourtant riche, n'est que parcimonieusement traitée par les écrivains. Nous accusons un énorme déficit dans ce sens. Il y a tellement de sujets en jachères, d'angles de vue occultés, d'approches béquillardes. Certes, la femme demeure le parent pauvre de notre littérature, mais la société en général souffre de l'absence d'un traitement plus large et plus ambitieux.
Yves Izard : Avec ce roman, vous revenez en Algérie, dans une époque post coloniale, pourquoi? Est-ce pour mieux interroger ce qui se joue dans ce combat entre modernité et tradition?
Yasmina Khadra : Absolument. Comment comprendre l'échec de notre politique actuelle et la régression qui en découle sans se référer aux années 1960 qui ont vu l'Algérie accéder à son indépendance après quatre mille ans d'occupation étrangère?
Yves Izard : Quel regard portez vous sur le Hirak et la situation en Algérie?
Yasmina Khadra : Nous avions une chance inouïe de nous en sortir définitivement, mais la naïveté du Hirak s'est heurtée à la diablerie d'un système corrompu et jusqu'au boutiste. Depuis le début des marches massives, j'ai essayé d'alerter l'opinion, à travers ma page Facebook, quant aux failles du Hirak qui refusait de choisir des personnes susceptibles de l'incarner. Aucun mouvement révolutionnaire ne peut aboutir s'il n'est pas porté par des voix identifiables en mesure de fédérer l'ensemble des revendications. Cela n'a pas été le cas, et mouvement est resté anonyme, et donc inefficace. J'ose espérer que le Hirak revienne très vite, avec une vraie feuille de route et des leaders unanimement loués.
Yves Izard : 19 ans après Les Hirondelles de Kaboul où vous nous nous emmeniez au sein d'un couple dévasté par l'oppression du régime taliban, comment vivez-vous ce retour au pouvoir des islamistes les plus radicaux, et craignez-vous ses conséquences sur le monde?
Yasmina Khadra : Le retour des Talibans était prévisible. C'est ce que j'avais déclaré à la presse, il y a des mois. La présence des alliés en terre afghane a échoué à cause des choix politiques. Les alliés ont tablé sur des responsables peu fiables, corrompus et vassaux, et la fourberie a fini par fausser tous les projets engagés en Afghanistan. De leur côté, les Talibans savaient que le temps travaillait pour eux et ont fait montre d'une patience qui, malheureusement, a payé. Les alliés ont cherché à proposer leur mode de vie à un peuple dont ils ne connaissaient pas grand-chose. Dans la précipitation, ils ont perdu de vue l'essentiel : la culture et le véritable mode de vie des Afghans. On ne peut bousculer l'ordre des choses sans le renverser d'une manière ou d'une autre. Cependant, le retour des Talibans est, sans doute, la faillite de trop. J'en suis très peiné.
Et trois questions à… Sedef Ecer
Le Festival du livre de Sète, Les Automn’Halles, a le plaisir de recevoir Sedef Ecer pour une table ronde consacrée au premier roman en compagnie de deux autres primo-romancières, Dima Abdallah et Abigail Assor, le samedi 25 septembre, à 11 h 30, à la médiathèque Mitterrand. En attendant, nous avons voulu en savoir plus sur la genèse de Trésor national.
Sedef Ecer, vous êtes auteur dramatique, scénariste, metteur en scène, comédienne, et maintenant romancière avec la parution en janvier dernier de votre premier roman Trésor national. Qu’est-ce qui vous a amenée à l’écriture romanesque ?
Sedef Ecer : J’ai déjà écrit un roman en langue turque et des nouvelles en turc et en français donc disons que c’est un premier roman français car j’avais déjà expérimenté cette écriture romanesque, celle de « l’objet terminé », contrairement aux textes que l’on retravaille avec une équipe.
C’est la tentative de coup d’État raté en 2016 qui m’y a amenée : un peu comme la narratrice, j’ai senti que quelque chose était en train de mourir, le pays était en train de se transformer de manière irréversible et je me disais que je ne retrouverais plus jamais l’ancienne Turquie et j’ai eu besoin d’une écriture solitaire. J’ai commencé à m’intéresser au pays de mon enfance et comme j’avais grandi, exactement comme la narratrice, sur les plateaux de cinéma, j’ai commencé à regarder les vieux films de mon enfance.
Votre narratrice, Hülya/Julia, trouve d’ailleurs ses jalons au rythme des coups d’État (1960, 1971, 1980 et celui raté de 2016). Cet ancrage du roman dans la vie politique turque est-il important pour vous ?
S.E. : Oui, puisque c’était le point de départ de tout. C’est toujours comme ça, une fois que quelque chose commence à m’habiter ; un personnage, une situation, une scène, je commence à prendre des notes. Je lis, regarde, écoute tout ce qui peut m’aider. Puis, un jour, je sais que le matériau est là, que je peux commencer à écrire. Et pour ce roman, je savais dès le début que les coups d’État allaient rythmer le récit, qu’il y aurait les différentes pistes à tisser (l’amour, l’art, l’amitié, la politique) et j’ai organisé les temporalités en fonction de ça. Lorsque mes personnages vivaient des choses, la grande Histoire n’était jamais loin. Je me disais, un peu comme dans la tragédie grecque, ce n’est pas la faute des monstres, c’est celle des « Dieux », en l’occurrence, celle du destin politique d’un pays.
Trésor national est aussi un immense hommage au cinéma et à la fiction en général. Vous-même avez joué enfant dans vingt-cinq longs métrages et ce, dès l’âge de trois ans. On vous a parfois qualifiée de Shirley Temple turque… Une expérience qui vous a aidée dans l’écriture de ce roman ?
S.E. : C’est un aspect qui a probablement été déterminant, lorsqu’on a vécu une enfance pareille, on ne peut pas en sortir indemne, avoir un rapport normal à la réalité. À l’âge où l’on se construit, entre 3 et 11 ans, les adultes qui m’entouraient allaient sur un plateau pour raconter des histoires. Déjà que l’endroit entre la réalité et la fiction est poreux chez les enfants, comment aurais-je pu ne pas croire en ces histoires qui, pourtant, étaient fabriquées de toutes pièces et de plus, pour la plupart, étaient totalement loufoques ? Disons donc que ce n’est pas une expérience qui m’a « aidée » mais une expérience qui m’a construite totalement, qui a façonné ma manière de vivre, de croire aux récits… Et puis aussi, j’ai grandi sur les genoux des divas adulées et j’ai probablement puisé dans cette expérience pour raconter mon personnage d’actrice-trésor.
Propos recueillis par Jocelyne Fonlupt-Kilic
[Encadré]
Trésor National, Sedef Ecer, éd. JC Lattès, janvier 2021.